Les critiques qu’on en fait, sont accompagnées de tant d’actions efféminées : elles sont comme assaisonnées de tant d’expressions molles, équivoques & lascives, dans les sujets même les plus sérieux, que pour une bonne vérité qu’on y comprend sans en être touché du côté de Dieu, parcqu’il n’y donne point sa grace, on y conçoit mille mauvais desirs, après s’être rempli l’esprit de mille idées profanes.
Les principes de religion qu’auront reçu nos petits neveux, ne leur permettrons pas d’en souhaiter d’autre, ils se féliciteront de la trouver parfaite ; & quand ils voudront jeter les yeux sur les pieces de l’ancien théatre, loin de les regretter, ils auront peine à comprendre que leurs ayeux en aient pu souffrir la licence.