Ces Comédies furent représentées par une troupe de jeunes gens, et ne parurent pas sur le Théâtre des Comédiens.
Elle ne pouvoit s’accoutumer à la magnificence des habits, au caprice des modes, à la vanité des parures : les discours de galanterie la faisoient rougir & la déconcertoient ; en se regardant dans le miroir, il lui sembloit qu’elle étoit une comédienne. […] Il le fit, mais il en mit trop peu ; les Comédiens n’en furent pas contens. […] Il faut donc qu’une troupe d’Officiers comédiens la suivit, comme les Officiers de sa Maison, & fit chaque jour son service ?