, qu’il n’y admet point la jeunesse pour y voir ni les comédies ni même les tragédies, quoiqu’elles fussent aussi sérieuses qu’on le vient de voir ; parce qu’il faut craindre, dit-il, les premières impressions d’un âge tendre que les sujets tragiques auraient trop ému.
De la comédie et des comédiens chez les païens et chez les chrétiens.