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177. (1838) Principes de l’homme raisonnable sur les spectacles pp. 3-62

Ovide lui-même, que l’on ne prendra pas pour un casuite fort sévère, nous montre ce qu’il pensait de la Comédie. […] « La belle école, s’écrie Cicéron, que la Tragédie et la Comédie ! […] « Croyez-moi, mon fils, quand vous saurez parler de Romans et de Comédies, vous n’en serez guères plus avancé pour le monde, et ce ne sera pas par cet endroit-là que vous serez plus estimé… Vous savez ce que je vous ai dit des Opéras et des Comédies. […] Les inconvénients graves, qui font à juste titre condamner la Comédie et les Comédiens, doivent également résulter de cette espèce d’apprentissage. […] Delafayette, alors dans ces contrées, se proposait un jour d’aller à la Comédie.

178. (1760) Sur l’atrocité des paradoxes « Sur l’atrocité des paradoxes —  J.J.L.B. CITOYEN DE MARSEILLE, A SON AMI, Sur l’atrocité des Paradoxes du Contemptible J.J. Rousseau. » pp. 1-128

La Comédie est un Sermon vivant, & remue bien différemment l’Auditeur. […] La Comédie est donc le refuge des infâmes, me dira-t-on ? […] Mais pourquoi lui-même fréquentait-il la Comédie ? […] Il composa plusieurs Pièces de Comédie qui lui acquirent une grande réputation. […] Marseilles soutient sans le Concert, Opéra, & Comédie.

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