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165. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre premier.  » pp. 4-42

Ce tribunal me fait souvenir du Sénat des Dames, établi par Héliogabale, pour juger des modes, des coëffures, des pompons, &c. ainsi se formeront, à Parme comme à Paris, d’excellents citoyens, & acteurs de théatre, très-utiles à la République, à la Réligion & aux mœurs. […] Que le Penulus de Plaute fut joué dans la fête que donna Julien, frere de Leon, au peuple Romain qui lui avoit donné le droit de Citoyen, & qu’il le fit avec tant de magnificence, qu’il ne pensa pas que les Romains eussent des spectacles plus magnifiques.

166. (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre III. Autre continuation des Mêlanges. » pp. 45-87

Son livre eût-il été reçu & son travail récompensé, s’il eut par, lé autrement d’un citoyen si célebre ? […] Il n’avoit pas poussé bien loin sa fortune littéraire : il ne fut que de l’Académie de Dijon sa patrie, qui voulut se faire doublement honneur par l’adoption d’un tel citoyen.

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