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13. (1715) La critique du théâtre anglais « AVERTISSEMENT DU TRADUCTEUR. » pp. -

Collier, qui cite tous les anciens Poètes avec lesquels il confronte ceux de sa nation, qu’on n’en croira M. de S. Evremond qui se cite tout seul, et qui de son propre aveu n’avait nulle teinture de la langue Grecque. « Pour le style de Plutarque, dit-il en quelque endroit, n’ayant aucune connaissance du Grec, je n’en saurais faire un jugement assuré. […] Mais ces légers changements ne doivent point offenser les parties intéressées ; parce qu’ils sont inévitables, et qu’ils n’altèrent point le fonds d’un ouvrage : j’ai même eu la précaution de les citer à la marge ; du moins j’en ai cité assez pour qu’on ne revendique point ceux que je laisse, afin de ne pas surcharger les marges déjà pleines des citations de mon Auteur.

14. (1760) Sur l’atrocité des paradoxes « Sur l’atrocité des paradoxes —  J.J.L.B. CITOYEN DE MARSEILLE, A SON AMI, Sur l’atrocité des Paradoxes du Contemptible J.J. Rousseau. » pp. 1-128

J’entre en matière, & ne te citerai qu’une partie des impertinences dont la Brochure du Génevois abonde. […] A propos du mariage de justinien avec Théodora, je suis bien aise de citer ce qu’en dit M. […] Celui qui les représente n’est pas plus avili que celui qui les cite. […] Je citerais toute la France, les pays étrangers même. […] Combien n’aurais-je pas d’exemples à citer sur cette matière si je le voulais.

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