Quelle excuse nous restera-t-il, s'étant Chrétiens, c'est-à-dire citoyens des Cieux et associés aux Anges, et aux Chérubins, nous ne sommes pas néanmoins si réglés en ce point que le sont les Païens et les Infidèles.
» On est à plaindre dans la littérature et dans la société, comme dans la religion, quand toute la vie ayant aimé et joué la comédie, le bel esprit va s'ensevelir dans l'éternité de l'oubli, comme le Chrétien, dans l'éternité des supplices : triste dénouement, qui n'est que la juste récompense et de la pièce et de l'Auteur.