jeûnent comme les Chrétiens des huit premiers siecles, ils ne faisoient qu’un repas en vingt-quatre heures. […] Ce ne fut jamais celui des Chrétiens. […] Ces expressions Chrétiennes, que Plutarque ne connut jamais, ne sont qu’une dérision. […] Witikins se fit volontairement Chrétien ; son élévation & celle de sa maison fut la récompense de sa conversion très-sincère, qui occasionna celle de toute la nation. […] Qui doute qu’avec des vues si perverses, ordinaires au Comédien, mais que ne connoît pas un Négociant Chrétien, ils ne soient tous les deux très-coupables ?
il n'excepte personne.Un Chrétien ne saurait conserver une véritable piété sans le secours d'une crainte salutaire, qu'il conçoit à la vue des dangers qui l'environnent.