Rien n’est changé dans le sacerdoce, et l’on peut dire aussi des prêtres toujours romains, qu’ils n’ont rien oublié, qu’ils n’ont rien appris b. […] Ils oublient que celui qu’ils disent être leur maître a consacré ces réunions par sa présence, et que le vin ayant manqué, par le trop grand usage qu’on en avait fait, il n’en a pas moins changé l’eau en vin.
Ceux donc qui s’efforcent de confondre ces caractères différents, de les effacer s’il se peut, et de les changer, ne sont-ils pas dignes de toute sorte de blâme ? […] sans cela, on aurait sûrement changé la pénitence de Sang-farouche.