Son palais était rempli de Comédiens, il en était sans cesse environné jusque dans les rues, dans les temples, dans les cérémonies et les assemblées publiques.
Il est vrai que la chaire ne cesse de foudroyer les assemblées des spectacles ; & ses foudres ne tombent pas en vain : mais le Theatre subsiste, & ses défenseurs continuent de l’environner d’un ferme rempart. […] Cessons nos justes invectives contre les Auteurs. […] Spectateurs, cesserez-vous pour cela d’être coupables ?