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69. (1675) Traité de la comédie « XX.  » pp. 306-308

Il est aisé de conclure de là que ce n'est point une vie Chrétienne, mais une vie brutale et païenne, de passer la plus grande partie de son temps dans le divertissement; puisque le divertissement n'est pas permis pour soi-même, mais seulement pour rendre l'âme plus capable de travail.

70. (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXIV. Troisième réflexion sur la doctrine de Saint Thomas : passage de ce saint docteur contre les bouffonneries. » pp. 85-87

Quoi qu’il en soit, en troisième lieu, il ne faut pas croire que Saint Thomas ait été capable d’approuver les bouffonneries dans la bouche des chrétiens, puisque parmi les conditions sous lesquelles il permet les réjouissances, il exige entre autres choses, « que la gravité n’y soit pas entièrement relâchée : ne gravitas animae totaliter resolvatur  »2. 2. q. 168. 2. c.

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