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272. (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Septième Lettre. De la même. » pp. 73-99

Tout, parmi les êtres animés, tend au plaisir : mais cette pente est plus forte, plus éclairée dans l’homme ; elle le porte à rechercher avidement ce qui peut lui procurer, ou des sensations flateuses par rapport au corps, ou des perceptions agréables par rapport à l’esprit, ou de doux sentimens capables de fondre la glace de son cœur.

273. (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE II. Melanie. » pp. 29-71

Deux sortes de crainte peuvent faire entrer dans un Couvent ; une crainte forte, capable d’ébranler un homme constant, cadens in constantem virum ; & une crainte légère, qui ébranle une ame foible, timide, respectueuse, metus reverentialis. […] Voilà qui est bien plus incroyable, & qui doit non pas faire écouter avec confiance, mais rejeter avec horreur l’indigne Religieuse capable de ces affreux exces : Qui sibi nequam est, cur alii bonus erit ?

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