Convenons-en plutôt, à la honte éternelle de nos déclamateurs ; ce sont là de ces beautés qui pourroient échapper à la lecture, mais qu’on ne peut s’empêcher de sentir aux théâtres. […] Est-ce donc là une de ces beautés (Lettre de M. […] au milieu de ces sultanes & de ces nymphes, de tant de beautés molles, de tant de langueurs passionnées, de ces flambeaux ardens, de ces fléches aiguës, de ces dagues tranchantes, c’est là sans doute un ministre de Satan vomi par l’enfer, pour nous faire arborer le turban, & introduire parmi nous (p. 10. […] J’en atteste sa marreine qui, pour la consoler de la perte d’une de ses mules qu’elle a faite au Bal, lui dit : Que de beautés sortant du bal Ont souvent perdu davantage.
C’est peut-être pourquoi elles ont été si courrues ; on prévoyait déja la beauté du genre qu’elles feraient éclore un jour.