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64. (1666) La famille sainte « DES DIVERTISSEMENTS » pp. 409-504

En est-il qui veuillent écouter ce que le bel ordre du monde leur dit ? […] Quand le bal n’aurait point d’autre bon effet que d’être le père des plus beaux mariages, il devrait être permis. […] Qui est le mari qui va au bal, qui ne trouve que les autres femmes sont plus belles que la sienne ? […] Si vous allez au bal pour y acquérir l’estime d’être belle, gentille, de belle humeur, c’est vanité ; si c’est pour y voir, c’est curiosité ; si c’est pour y donner ou y recevoir de l’amour, c’est lubricité ; si c’est pour vous divertir, c’est perdre le temps. […] Son Panégyriste parle de lui, comme du plus beau joueur de son temps.

65. (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Huitième Lettre. De la même. » pp. 100-232

Madame Des Tianges… Voila tout : c’est dommage qu’on se soit arrêté en si beau chemin. […] le bel exemple ! […] On dit que les Lacédémoniens avaient porté cette partie de l’éducation, au plus haut point : qu’il serait beau de les imiter ! […] & nul autre des beaux Arts ne peut rendre ces dernières avec plus d’énergie. […] Le beau Chœur de l’Acte de l’Amour & Psyché, ceux de Zoroastre, & peu d’autres, n’ont pas ces défauts.

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