Il place dans les palais somptueux, dans les lieux destinés à la volupté (l’opéra, le théatre, par exemple) des monstres qu’il appelle Syrènes, & les animaux velus qui dansent, pisori saltabunt, & les chouettes qui chantent de concert, ululæ respondebant, ce que Vatable entend des Faunes & des Satyres, & d’autres des singes, des boucs, des chats sauvages, &c.
Comme ceux-ci, par les cris qu’ils jettent à la vue de l’édifice en flammes, quelles que soient leurs dispositions intérieures, donnent l’éveil aux gens plus intéressés à le sauver, de même ceux qui appellent du secours à la vue de la misère qui accable l’indigent, quel que soit le fond de leur cœur, fixent l’attention, excitent la sensibilité des àmes plus disposées à le secourir.