Il dit encore : Ce qui doit le plus flatter M. du Belloy est sans doute l’estime des Anglois, qu’il appelle une raison suprême.
Il est vrai qu’on met dans la plupart une sorte d’adoucissement, en terminant l’intrigue par un mariage : foible palliatif, ces amours, qu’on appelle honnêtes, ne sont pas moins que les autres de mauvais exemple ; ils sont traités sur la scène sans bienséance, & en dépit des engagemens des parens & de la volonté des tuteurs ; c’est le pivot sur lequel tournent toutes les intrigues.