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52. (1664) Traité contre les danses et les comédies « TABLE DES CHAPITRES du contenu en ce Livre » pp. -

Si un Evêque peut défendre qu’on ne danse les jours des Fêtes, ou même en quelque temps de l’année que ce soit. p. 146.

53. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE II. Des Spectacles des Communautés Religieuses. » pp. 28-47

Ce ne sont pas jeux défendus de représenter quelque histoire dévote, pourvu qu’on n’y mette pas trop de temps ; qu’on n’en fasse que rarement, comme trois ou quatre fois l’année ; qu’on n’y parle point d’amour, sinon de l’amour divin avec l’âme dévote, et ne s’y passe rien contre la modestie ; qu’on laisse l’habit de dessous, sans jamais se revêtir de ceux des hommes, ni rien qui leur ressemble. […] Les constitutions des Carmes déchaussés de l’année 1645 (Part. […] L’histoire de l’Opéra, et chaque année le Mercure et les autres feuilles périodiques, rapportent avec soin les pièces, les parodies, les compliments qu’on y débite, au grand regret de Messieurs de S.  […] Il est vrai encore qu’au grand Séminaire, le célèbre Supérieur qui le gouverne, le plus instruit des maximes du monde, le plus lié avec tout ce qu’il y a de plus grand à la ville et à la Cour, a jugé à propos depuis plusieurs années, de supprimer le théâtre, et malgré toutes les instances qu’on a pu lui faire, n’en a jamais voulu permettre le rétablissement.

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