Elle ajouta qu’elle avait eu une sœur qui était morte dans un couvent, après y avoir vécu dans la plus grande austérité, pour expier la faiblesse de s’être laissé abuser par l’amour, et par un président de qui elle avait eu une fille, mais que malgré des recherches multipliées, elle n’était jamais parvenue à faire aucune découverte sur le sort de cet enfant.
« Toutes ces piéces de Théâtre, dit un célébre Auteur, ne sont que de vives représentations de passions, d’orgueil, d’ambition, de jalousie, de vengeance, & principalement de cette vertu Romaine, qui n’est autre chose qu’un furieux amour de soi-même.