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127. (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXI. Réflexion sur le Cantique des cantiques et sur le chant de l’Eglise. » pp. 76-78

Ce cantique ne respire qu’un amour céleste, et cependant parce qu’il y est représenté sous la figure d’un amour humain, on défendait la lecture de ce divin poème à la jeunesse : aujourd’hui on ne craint point de l’inviter à voir soupirer des amants pour le plaisir seulement de les voir s’aimer, et pour goûter les douceurs d’une folle passion.

128. (1823) Instruction sur les spectacles « Table des chapitres. » pp. 187-188

L’amour profane est la plus dangereuse de toutes les passions. 29 Chap.  […] Les spectacles inspirent l’amour profane. 32 Chap. 

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