Après avoir fait un pompeux éloge de la morale de Moliere, Fagan, dans son Apologie du Théatre, ajoute : Il y a des exceptions à faire, le Roi a dû établir des Censeurs pour examiner les pieces avant de les représenter, afin qu’elles soient plus châtiées que celles de Moliere.
Des Pièces tendres, jouées par des femmes honnêtes, pourront bien disposer l’âme à la tendresse, mais ne la porteront ordinairement pas au libertinage : ajoutez que des Pièces peu répétées captiveront toute l’attention du Spectateur.