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230. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre III. Du Cardinal de Richelieu. » pp. 35-59

Cette pièce, dit Fontenelle, sent bien le Ministre Poète ; il a bien l’air dans ces trois nœuds de se vanter de ses bonnes fortunes. […] Les pièces de Corneille au contraire respiraient un air républicain, et parlaient assez cavalièrement des Grands, des Princes et des Ministres : quels blasphèmes !

231. (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre II. De l’Opéra-Sérieux. » pp. 184-251

Lully transporta l’Opéra de la rue Mazarine au jeu de paulme du bel air. […] Pomone a plutôt l’air d’une farce que d’un Opéra-Sérieux. […] On veut que l’ouverture par laquelle les Démons sortent de l’Enfer, ressemble à ces abîmes que la terre forme en s’entre-ouvrant : on veut que la voûte d’un Palais se partage, se brise quand une Magicienne ou une Divinité est supposée la fendre pour s’élancer dans les airs.

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