Racine dans la Tragédie de Bérénice fait consister la grandeur d’âme de Titus à triompher de l’amour, et à sacrifier sa Maîtresse à l’Empire de Rome. […] M. Racine. […] La passion d’amour, qui du temps de Racine s’était si généralement emparée du Théâtre, peut seule l’excuser d’en avoir fait usage avec tant de profusion. […] Racine, puisse jamais convenir au nouveau Théâtre. […] M. Racine.
[NDE] Dans cette préface restée inédite, Racine explique les raisons pour lesquelles il n’a pas publié la « Seconde Lettre de Monsieur Racine aux deux apologistes des Hérésies imaginaires », réponse aux deux lettres attribuées à Barbier d’Aucour et à Goibaud-Dubois qui répondaient elles-mêmes à son attaque contre l’auteur des Hérésies imaginaires. […] L’établissement de ce texte a été effectué à partir de l’édition originale, in Racine, Œuvres complètes, Paris, H.