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134. (1731) Discours sur la comédie « SECOND DISCOURS » pp. 33-303

« Spectatores, ad pudicos mores facta hac Fabula est. » Mais on a toujours fait plus de cas des Comédies de Térence ; et nous pouvons dire qu’elles étaient plus tolérables durant les premiers siècles, que ne le sont à présent celles de Molière. […]  » Molière montait alors sur le Théâtre, et on sait bien qu’il n’a pas travaillé à le purifier. […] Car qui est-ce qui ne verra pas, que les pièces de Théâtre contiennent des maximes d’amour, et d’ambition condamnées par l’Evangile : Que la Comédie n’est pas compatible avec la prière continuelle et l’action de grâce inséparable des actions Chrétiennes : Qu’elle interrompt la suite des bonnes œuvres : Qu’on n’est pas plutôt Préface des œuv[res]. de Molière. touché des vérités de la Religion, qu’on a horreur d’avoir fréquenté le Théâtre ; car qui est-ce en effet qui a plus aimé Molière que M. le Prince de Conti, et qui est-ce qui a montré plus de zèle contre la Comédie que ce grand Prince, après qu’il se fût mis dans les exercices de piété ? […] Préface des œuv[res]. de Molière.

135. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre V. Du Faste. » pp. 154-183

Détail très-digne du Médecin de Molière, Thomas Diafoirus.

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