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393. (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE VII. Histoire de la Poësie Dramatique moderne. » pp. 176-202

Jodelle fut regardé comme le Dieu de la Tragédie : & parce que nous avions appris qu’en Grece on sacrifioit un bouc à ce Dieu, on conduisit chez Jodelle un bouc couronné de lierre, dont la barbe & les cornes étoient dorées : ceux qui le conduisoient avoient des Thyrses, & chantoient un Dithyrambe, qui finissoit par cette exclamation, yach, évoé, yach, yaha. Le Dieu de notre Théâtre trouva un Rival dans Garnier, qui parut à quelques Savans plus comparable aux Grecs. […] On doit croire l’Ouvrage de Scuderi parfait, parce que, dit Sarasin, cet Oracle a été prononcé par Armand, le Dieu tutelaire des Lettres, la honte des Siécles passez, la merveille de ceux qui sont à venir, le divin Cardinal de Richelieu.

394. (1823) Instruction sur les spectacles « Préface. » pp. -

Mais pourvu que la gloire de Dieu soit vengée, nous ne nous mettons pas en peine de ce qu’en pensera le monde.

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