Nous parlons ailleurs de Confucius, mais pour Mango-Capac, le premier des Rois du Pérou dont le théatre Péruvien nous a rappellé l’idée, voici de quoi apprécier ce délire philosophique qui met la loi naturelle au-dessus de tout, pour mieux secouer le joug de l’Evangile.
Les Payens étoient plus conséquens, ils ne connoissoient ni la felicité des Chrétiens, ni les trésors de la grace, ni la morale de l’Evangile, ni le merite des bonnes œuvres ; les plus sages d’entre eux blâmoient pourtant le théatre.