C’est pourtant sur ce testament ménagé avec le plus grand empressement, que furent alors établis les principaux droits du Duc d’Anjou à la Couronne d’Espagne.
Formei ont déjà donné nombre d’ouvrages ; ils doivent assembler un concile où je présiderai, en attendant le Saint-Esprit ; il n’y aura qu’un ministre de chaque secte & deux députés de chaque province, un de la noblesse, un du tiers-état ; tout s’y décidera selon le bon sons, & on y établira mon systême.