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25. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre I.  » pp. 3-35

Dans l’Almanach des Spectacles de 1773 les Comédiens sont un grand éloge de Madame Favard. […] Le Panégyriste de la Favard fait ensuite l’éloge des belles qualités de son cœur. […] Il y a un trait singulier dans un de ces éloges de la Favard. […] Il y ajoute un éloge d’Helvetius, dont le Traité de l’Esprit ne fera jamais canoniser son Auteur, ni ses partisans. […] On la lui accordée, & il en a prononcé l’éloge, quoiqu’il ne soit ni Peintre, ni Sculpteur, ni Architecte.

26. (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre VI. Machiavel. » pp. 198-214

Machiavel ne cessoit de donner les plus grands éloges à Brutus & à Cassius ses meurtriers ; il en avoit lui-même souffert les plus mauvais traitemens, ces traits ne se pardonnent pas, la colere suffit & vaut un Appollon. […] Il en fait le plus grand éloge, & le préfere à tous les princes de son temps & le leur donne pour modele : ce qui est très possible & très-vraisemblable. […] L’auteur entasse crime sur crime, pour donner un plus rude contre-coup aux Médicis, sous le nom de Borgia & le voile d’un éloge. […] & peut-on avec justice combler l’un d’éloges & charger l’autre d’anathêmes ? […] Est-il vraisemblable qu’un grec, ennemi des tyrans, en eût fait l’éloge ?

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