Il auroit aussi bien fait de ne pas parler du théatre, dont Luther ne s’embarrassoit guere ; mais il parloit devant l’Empereur & tous les Princes d’Allemagne, qu’il croyoit devoir ménager, pour conserver leur protection à l’Église Romaine, alors si vivement attaquée par les Luthériens.
Pour favoriser la guerre du Roi de Pologne contre le Turc, il lui envoya cent mille florins, accorda un Jubilé pour faire faire des prieres en sa faveur, & défendit la comédie dans tous ses États, même pendant le carnaval, comme ne pouvant qu’attirer la malédiction de Dieu (La Roque, Mémoire de l’Église, L.