Saint Augustin, qui écrivait son Traité de la pénitence près d’un siècle après la conversion des empereurs, et dans un temps où les spectacles étaient purgés de tout levain d’idolâtrie, n’a pas laissé de les interdire aux chrétiens ; il ordonne d’abord aux pénitents de s’abstenir des jeux et des spectacles : Cohibeat se a ludis et spectaculis hujus seculi 19.
La description du cirque est trop claire et trop détaillée, pour ne pas l’attribuer à un homme qui écrit ce qu’il voit, ou du moins ce qu’il a vu.