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316. (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE VII. Suite de l’Indécence. » pp. 138-160

Les pieces de théatre sont écrites en François, d’un style léger & piquant, ne se lisent que pour s’amuser, ne présentent les passions que pour les faire goûter, ne sont entre les mains de tout le monde & sur la scène que pour être assaisonnées de tout l’agrément de la représentation.

317. (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE I. Réformation de Riccoboni. » pp. 4-27

On y lut les lettres écrites à sa maîtresse, qu’on avoit trouvé le moyen d’avoir.

318. (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre III. De l’Indécence. » pp. 21-58

On n’a qu’à lire les Vers qui suivent.

319. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre III. Jurisprudence du Royaume. » pp. 51-74

On lira avec plaisir les réflexions éloquentes de Mornac sur les lois du digeste et du code, le style éloquent de Gonzales sur les chapitres des décrétales, l’inépuisable érudition de Tiraqueau (de nobilitate C.

320. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VIII. De l’excommunication des Comédiens. » pp. 176-199

Le parterre, ou peut-être quelqu’un aposté, lisait et chantait, et les Acteurs faisaient les gestes.

321. (1843) Le Théâtre, par l'Auteur des Mauvais Livres « Le Théâtre. » pp. 3-43

Pères, qui tous ont condamné le théâtre. « C’est lire trop négligemment les Pères, dit cet illustre écrivain, que d’assurer qu’ils ne blâment dans les spectacles de leur temps que l’idolâtrie et les impudicités, c’est être trop sourd à la vérité que de ne pas sentir que leurs raisons portent plus loin, ils blâment dans le théâtre, l’inutilité, les passions excitées, la prodigieuse dissipation, etc.

322. (1772) Sermon sur les spectacles. Pour le Jeudi de la III. Semaine de Caresme [Sermons pour le Carême] « Sermon sur les spectacles » pp. 174-217

Ajoutons : si quelqu’un approuve le théâtre, ce ne sera pas ce fameux Orateur de Rome, homme d’une prudence si profonde & d’un discernement si exquis, qui citant nommément les auteurs les plus graves de la Grece & leurs pieces les plus sérieuses, attribuoit au plaisir qu’on prenoit à les voir représenter & à les lire, tous les déréglements de l’esprit & tous les désordres du cœur.

323. (1781) Réflexions sur les dangers des spectacles pp. 364-386

Je viens de lire dans le Nouvelliste politique l’article suivant de Paris.

324. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre II. Autres Anecdotes du Théatre. » pp. 43-70

Racine étoit malin & caustique, qu’on lise ses Lettres contre Port-Royal, & on verra le sel le plus piquant.

325. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre V. Du Luxe des coëffures. » pp. 115-142

Personne ne l’a lu sans rire.

326. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre IIbis. Autre suite du Fard. » pp. 61-89

La consommation des matieres qu’il emploie épuise insensiblement la nature, c’est-à-dire, le fonds des vrais biens destinés à nos besoins ; des animaux par les viandes qui chargent les tables ; du bois pour les préparer & pour échauffer les appartemens ; de la matiere, lu linge & des étoffes, &c.

327. (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre IV. Maurice de Saxe. » pp. 118-145

Il en avoit si peu composé, qu’on nous dit qu’il n’avoit jamais voulu rien étudier, & qu’à peine savoit-il lire.

328. (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE II. Du Mariage. » pp. 30-54

Moliere, pour le jouer plus cruellement, fit semblant deux jours avant la piece, de l’estimer au point de vouloir la lui lire, pour le consulter.

329. (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE II. Théatres de Société. » pp. 30-56

Une mère honnête ne les donneroit pas à lire à sa fille ; elle la voit sur son théatre, apprendre par cœur, exercer avec soin, réciter avec passion, les mêmes Contes tournés d’une maniere plus licencieuse que dans l’original ; elle y applaudit, elle les verra bien-tôt réaliser.

330. (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE III. Immodestie des Actrices. » pp. 57-84

On ne peut lire sans danger la peinture si vive de l’état de son cœur que S.

331. (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE IV. Suite des Masques. » pp. 82-109

Dans un aveuglement si horrible, il faut instruire ces honnêtes gens par des feuilles volantes ; ce leur seroit une trop pénible corvée de lire l’Ecriture, les Conciles, les Pères.

332. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre V. Infamie civile des Comédiens. » pp. 101-125

Qu’on lise la vie des Comédiens dans l’histoire de M.

333. (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Idée des spectacles novveavx. Livre II. — Chapitre XI. Du Balet. » pp. 209-318

Qu’il ne parle que des pieds & des mains ; Que ses gestes & ses mouvemens dechiffrent & developent tous les mysteres du dessein, il a satisfait à tous ses devoirs : Car le Balet n’est, apres tout, qu’une Fable müette, où les Anciens estoient si bien versez, que sans aucun besoin de Truchement Ils faisoient lire dans leurs actions & dans leur danse, leurs desseins & leurs pensées, comme s’ils eussent usé de la voix & des paroles. […] Il en est de mesme du Lut.

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