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304. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre premier.  » pp. 4-42

Il fut pris au mot, soutint la gageure, fit la piece, & elle eut le plus grand succès ; encouragé par cet essai, il y prit goût, & en a fait depuis beaucoup d’autres ; en effet, que sont dans le fond toutes les comédies, reduites à leur juste valeur, & dépouillées du prestige de la représentation, du clinquant de la décoration & des habits, des graces des actrices, de la musique, de la danse ? […] Ce Programme est un long verbiage assez mal écrit, on y fait une espece de traité de l’art dramatique, dont on donne des regles fort triviales, ce qui n’est ni l’usage des programmes, ni le style des Princes ; il y en a même d’assez peu justes.

305. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre [V].  » pp. 156-192

On peut en dire de même de l’ame juste, embrasée du feu de la charité, comme des rayons du Soleil, couronnée de la lumiere de la foi, comme des étoiles, elevée au dessus des choses d’ici-bas par la force de l’espérance. […] Mais vous avez beau faire ; vous vous élevez au-dessus des astres, vous vous asseyez comme une Déesse la rivale du Tout-puissant, vous osez vous asseoir sur son trone je vous en arracherai, & vous précipiterai dans l’abyme des ce monde même ; la pâleur, la laideur, les rides, la foiblesse, la vieillesse, les infirmités, seront la juste punition de votre vanité, & de vos impuretés.

306. (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre premier. Remarques Littéraires. » pp. 11-51

où se sont commises les plus grandes débauches : il est juste qu’il serve à expier la débauche). […] Le discours de M. de Busson, lors de la réception de M. le maréchal de Duras à l’académie françoise, à la place du sieur Belloi ; ce discours, parmi les beautés qui naissent sous la plume de cet homme vraiment éloquent, donne une idée juste du sujet de nos tragédies.

307. (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE X. » pp. 171-209

Alors commencera le Royaume éternel des Justes où les pauvres Lazares seront reçus, d’où les Riches impies seront écartés.

308. (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre II. L’Exposition, le Nœud & le Dénouement. » pp. 183-210

Le Père, la Mère, ou le tuteur, ne veulent pas consentir à l’hymen des jeunes Amans ; ils s’intéressent en faveur d’un autre : Lorsque le Drame est parvenu à sa juste longueur, ils permettent enfin leur union, sans qu’on voie d’autre cause d’un changement si subit de volonté, que l’obligation où se trouve le Poète de terminer la Pièce.

309. (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Traité de la comédie et des spectacles » pp. 1-50

Y a-t-il rien de pareil à cet aveuglement : Si ce discours peut ouvrir les yeux à quelqu'un, je serai parvenu à la fin que je me suis proposée, pour ceux qui sont remplis des maximes de la chair et du monde, et que Dieu par un juste Rom.

310. (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE I. L’obscénité du Théâtre Anglais dans le langage. » pp. 1-92

Le Conseiller d’Etat des oiseaux continue et avertit qu’après avoir achevé la cité suspendue, et fortifié l’air d’alentour, leur premier soin doit être de réclamer leur ancienne souveraineté : que si Jupiter est sourd à leur juste prétention, il faut lui déclarer et aux autres Dieux confédérés une sainte guerre ; et couper incessamment toute communication entre le Ciel et la terre. […] Surtout ce juste, comme il plaît au Poète de l’appeler, ayant dit au commencement de son discours que l’on condamnait les gens au fouet pour de pareilles sottises, lorsque le Gouvernement et la discipline étaient en vigueur.

311. (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre V. Autres Mêlanges. » pp. 121-140

Heureux si un sincere repentir lui a obtenu le pardon de tous les drames & frivoles poésies dont le juste Juge, malgré leur célébrité, puniroit éternellement le scandale.

312. (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VI. Des Ariettes, & des autres parties du Chant théâtral à une seule voix. » pp. 297-328

Encore si on leur prêtait toujours un juste sujet de joye, ou qu’on amenât une fête avec adresse ; il serait alors plus naturel de les voir chanter : mais la plus-part des Poètes sont-ils bien attentifs à se servir de ce moyen ?

313. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE II. Des Spectacles des Communautés Religieuses. » pp. 28-47

Cette comparaison est aussi peu juste qu’édifiante.

314. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE III. Des Pièces de Collège. » pp. 48-67

Porée), après avoir fait un juste éloge du P.

315. (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE IV. » pp. 78-112

Qu’ils se plaignent plutôt d’eux-mêmes : c’est la juste peine de les avoir menées dans ces Ecoles infâmes, où l’on va admirer toutes ces intrigues, et les apprendre en même temps.

316. (1758) Lettre à Monsieur Rousseau sur l'effet moral des théâtres « Lettre à Monsieur Rousseau sur l'effet moral des théâtres, ou sur les moyens de purger les passions, employés par les Poètes dramatiques. » pp. 3-30

« Et vous qui dédaigniez ma naissance inconnue, Comtes, et les premiers, en cet événement, Jugiez en ma faveur si véritablement, Votre dédain fut juste autant que son estime ; C’est la même vertu sous une autre maxime. » 4.

317. (1733) Dictionnaire des cas de conscience « Comédie. » pp. 765766-806

ad 3. « Juste faciunt mercedem ministerii tribuendo. […] Chrysostome, et des autres touchant la musique des Théâtres, pour être convaincu qu’il n’y a rien de si propre pour corrompre le cœur, que ces airs languissants et tendres d’une musique à des paroles capables par elles-mêmes d’émouvoir beaucoup, et qui est soutenue de gestes et de mouvements convenables à ce dessein ; de sorte qu’on peut appliquer ici ce que Saint Basile a dit de la différence qu’il y a d’une musique honnête qui n’est capable que d’exciter dans l’âme les mouvements d’un plaisir réglé, pour conserver ou rétablir le juste tempérament où les puissances de l’âme doivent être, d’avec celle des Théâtres. « Il y a, dit S. […] ad 3. « Juste faciunt mercedem ministerii tribuendo.

318. (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE VI. Euphemie. » pp. 129-148

est-il juste d’imputer à la profession des égarement qu’elle condamne ?

319. (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Des anciens Spectacles. Livre premier. — Chapitre III. Du Cirque. » pp. 9-43

Nous leur laisserons les noms Latins, car il n’est pas possible de leur en donner en François de justes & de bien convenables.

320. (1758) Lettre à M. Rousseau pp. 1-42

Eh bien, c’était moi ; je me reconnais dans ces songes, et j’y verrais mon bonheur si vous vouliez être juste.

321. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE VIII. De la Comédie les jours de fête. » pp. 159-179

L’Empereur souscrivit avec plaisir à des prières si justes ; tous les Chrétiens s’y conformèrent avec joie.

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