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9. (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « I. » pp. 6-8

Mais avant que d’en découvrir le mystère, il faut vous en faire rougir s’il y a moyen, en vous faisant voir combien ce silence est injuste, et combien il est contraire à la piété et aux sentiments que les véritables Chrétiens ont toujours fait paraître en de semblables occasions. […] Il est mort, poursuivent-ils, le N. de ce mois, et dans l’accablement de tristesse où nous met une telle perte, la seule chose qui nous reste, est d’élever nos yeux vers Jésus Christ, afin qu’ayant pitié de l’abandonnement où nous sommes, il daigne donner un véritable Pasteur à son Eglise qu’il a fondée lui-même, et contre laquelle, selon sa promesse les portes de l’Enfer ne prévaudront jamais. 

10. (1710) Instructions sur divers sujets de morale « INSTRUCTION II. Sur les Spectacles. — CHAPITRE I. Que les Spectacles sont des plaisirs défendus. Preuves de cette défense tirées de l'Ecriture sainte, des Pères de l'Eglise, des Conciles, des Rituels, et des Lois civiles. » pp. 43-53

Le véritable plaisir d'un Chrétien consiste à se priver de tous les plaisirs passagers ; à attacher son cœur au lieu où se trouvent les véritables délices ; et à se faire de Jésus-Christ l'unique objet de ses consolations, et de sa joie. […] Les spectacles sont absolument défendus, parce qu'ils sont absolument mauvais, et qu'on ne saurait les mettre au rang des choses qui peuvent être bonnes ou mauvaises, selon le bon ou le mauvais usage qu'on en fait ; et que rien n'est plus opposé à la vie, aux sentiments, et aux devoirs d'un véritable Chrétien.

11. (1667) Lettre sur la Comédie de l'Imposteur « Lettre sur la Comédie de l’Imposteur » pp. 1-124

Et sur ce propos, le Frère de la Bru commence déjà à faire voir quelle est la véritable dévotion, par rapport à celle de M. […] Le Beau-frère plus pleinement confirmé dans son opinion qu’auparavant, prend occasion sur ce sujet de faire des réflexions très solides sur les différences qui se rencontrent entre la véritable et la fausse vertu : ce qu’il fait toujours d’une manière nouvelle. […] Il lui demande d’abord « si la nouvelle qu’il a apprise » de ce prétendu mariage « est véritable ». […] Le Frère fait dans ces perplexités le personnage d’un véritable honnête homme, qui songe à réparer le mal arrivé, et ne s’amuse point à le reprocher à ceux qui l’ont causé, comme font la plupart des gens, surtout quand par hasard ils ont prévu ce qu’ils voient. […] Ce que son Beau-frère relève excellemment, en lui remontrant « sa mauvaise disposition d’esprit, qui lui fait juger de tout avec excès, et l’empêche de s’arrêter jamais dans le juste milieu, dans lequel seul se trouve la justice, la raison et la vérité : que de même que l’estime et la considération qu’on doit avoir pour les véritables gens de bien, ne doit point passer jusqu’aux méchants qui savent se couvrir de quelque apparence de vertu ; ainsi l’horreur qu’on doit avoir pour les méchants et pour les hypocrites, ne doit point faire de tort aux véritables gens de bien, mais au contraire doit augmenter la vénération qui leur est due, quand on les connaît parfaitement ».

12. (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre VI. Les spectacles produisent et favorisent l’incrédulité. » pp. 86-89

Les dieux, les autels, les prodiges, les prêtres n’y paraissent que pour être la matière d’un indigne parallèle : ils n’y sont soufferts que pour engager adroitement les spectateurs à confondre avec de faux cultes le culte véritable, et n’y sont marqués que du sceau de la haine et du mépris. Sous l’emblème des fausses religions on attaque la véritable : Mahomet, les Vestales, Eugénie, Argillan, Virginie, Olinde, Sophronie, l’honnête Criminel, les Lois de Minos, les Guèbres et beaucoup d’autres en sont des preuves.

13. (1759) Remarques sur le Discours qui a pour titre : De l’Imitation par rapport à la Tragédie « Remarques sur le discours qui a pour titre : De l’Imitation par rapport à la Tragédie. » pp. 350-387

Rien ne manque donc plus à la véritable gloire du Poëte, parce que joignant toujours ce qui plaît à ce qui touche, & ce qui touche à ce qui instruit, il rassemble & il réunit tout ce qui peut faire sur nous une impression aussi agréable qu’intéressante, & aussi intéressante que solide. […] On les écoute dans la résolution de s’y laisser tromper, & c’est parce qu’on s’y trompe en effet, & qu’on prend la copie pour l’original, que des malheurs seints excitent une compassion presque réelle, & que l’image de la douleur y fait couler des larmes passageres, mais, en un sens véritables. […] ou si leur esprit a quelques lueurs de cette vérité, elles sont si foibles, si obscures, si enveloppées dans le sentiment, qu’ils ne s’en apperçoivent presque pas eux-mêmes, & l’on ne peut guères s’imaginer qu’une pensée à laquelle ils font si peu d’attention, soit néanmoins la véritable cause du plaisir qu’ils y trouvent. […] L’esprit aime naturellement à agir : mais il préfére ce qui lui coûte moins de travail ; & le succès, en donnant moins de peine, ne laisse pas d’attirer de grands applaudissements à l’Imitateur : on en voit aussi beaucoup plus que de véritables Auteurs ; & ce n’est pas seulement dans la Peinture qu’il est vrai de dire qu’on trouve mille & dix mille copies contre un seul original. […] Après avoir fait ces réflexions générales sur le goût que les hommes ont pour l’Imitation, il restera d’expliquer les véritables causes de cette derniere espece de plaisir dont l’Imitation nous affecte.

14. (1691) Nouveaux essais de morale « XXI. » pp. 186-191

Ce qui a fait dire à saint Augustin, que c’était un crime véritable de faire son divertissement de la fiction des crimes. […] Voilà ce qu’un véritable Théologien qui a une juste idée de la Religion de Jésus-Christ, trouve sans peine.

15. (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XIV. La fréquentation des spectacles ne peut se concilier avec la vie et les sentiments d’un véritable chrétien. » pp. 118-132

La fréquentation des spectacles ne peut se concilier avec la vie et les sentiments d’un véritable chrétien. […] Mais, pour leur ouvrir les yeux, il suffit de leur rappeler le véritable esprit du christianisme, et leur faire voir que les spectacles lui sont entièrement opposés dans leur nature et dans leurs effetsba. […] « Quand même ces personnes auraient besoin de délassements, doivent-elles se procurer celui des spectacles qu’on ne peut offrir à Dieu comme une œuvre chrétienne, qui est opposé au véritable esprit du christianisme, non seulement par sa nature, mais encore par ses effets ? […] n’est-ce pas là en un mot que le cœur, se voyant lui-même dans celui qui paraît épris d’un objet séduisant, devient aussitôt un acteur secret, qui, tandis qu’on joue une passion feinte, en éprouve lui-même une véritable ?

16. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE IX. Sentiments de Saint Augustin sur les Spectacles. » pp. 180-198

Si vos Dieux étaient des Dieux véritables, ils vous donneraient des règles de mœurs et de vertu. […] Ceux qui vous procureraient cette vie, seraient vos véritables Dieux, etc. […] Vous avez dégradé les Comédiens, éloignez ces Dieux qui se plaisent dans la représentation de leurs crimes, soit qu’ils soient véritables, ce qui est le comble de l’infamie, soit qu’ils soient faux, ce qui serait le comble de la calomnie. […] La véritable piété, qui seule peut faire votre véritable gloire, ne souffre pas une engeance infâme que le Censeur a chassé de vos tribus, et dont la société vous couvre de confusion : « Bene, quod histrionibus et scenicis societatem civitatis patere noluisti, evigila plenius nullo modo his artibus placatur divina majestas quibus humana dignatus inquinatur, etc. » Paul Orose, disciple de S. […] et 18.) : Rien de plus malheureux que le bonheur des pécheurs, qui fait un châtiment de l’impunité, et fortifie leur corruption, leur véritable ennemi.

17. (1824) Du danger des spectacles « DU DANGER DES SPECTACLES. » pp. 4-28

« Rien n’est plus capable de nous faire entrer dans la connaissance de la misère des hommes que de considérer la cause véritable de l’agitation perpétuelle dans laquelle ils passent toute leur vie. […] L’âme ne trouve rien en elle qui la contente ; elle n’y voit rien qui ne l’afflige quand elle y pense ; c’est ce qui la contraint de se répandre au dehors, et de chercher, dans l’application aux choses extérieures, à perdre le souvenir de son état véritable : sa joie consiste dans cet oubli, et il suffit, pour la rendre misérable, de l’obliger de se voir et d’être avec soi. […] Ainsi, par un étrange renversement de la nature de l’homme, il se trouve que l’ennui, qui est son mal le plus sensible, est, en quelque sorte, son plus grand bien, parce qu’il peut contribuer, plus que toutes choses, à lui faire chercher sa véritable guérison, et que le divertissement, qu’il regarde comme son plus grand bien, est en effet son plus grand mal, parce qu’il l’éloigne, plus que toutes choses, de chercher le remède à ses maux. […] Voulons-nous trouver les sources abondantes d’une innocente joie et du véritable contentement, aussi bien que les moyens d’étendre les limites de notre intelligence et la science de notre propre cœur ? […] [NDA] Le Christianisme des gens du monde, mis en opposition avec le véritable christianisme, par W.

18. (1715) Dictionnaire de cas de conscience « COMEDIE. » pp. 739740-750

Saint Chrysostome en son Homélie soixante-neuvième, sur l’Evangile de saint Mathieu, où il invective contre la Comédie, assure qu’elle est plutôt un mal réel et véritable, qu’un divertissement : « Quicquid ibi geritur non est oblectatio, sed pernicies. […] Et que le démon n’a suscités que pour corrompre la pureté des fidèles, sous le spécieux prétexte de les récréer, et pour renverser les véritables maximes de l’Evangile par des maximes contraires, qu’ils tâchent de rendre agréables par leurs bouffonneries et qu’ils font sucer comme le lait, aux gens du monde, dont le cœur est souvent déjà mal disposé ? […] Ils doivent, suivant le conseil de Salvien, considérer que les spectacles sont plutôt une mort à l’âme qu’un véritable plaisir. « Respiciant cuncta quæ diximus, et videant in spectaculis non voluptatem esse, sed mortem. […]  » Enfin une coutume qui est contraire aux Lois de l’Eglise et aux Constitutions Canoniques n’est d’aucune autorité et est un véritable abus […]  » On ne doit donc recevoir ces sortes de gens à la grâce de la réconciliation et de la Communion, qu’après qu’ils ont donné des marques assurées d’une véritable conversion, ainsi que le déclare le troisième Concile de Carthage, tenu en l’an 397.

19. (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE II. Excellentes raisons qui ont porté les Pères de l’Eglise à condamner les Comédies, et à les défendre aux Chrétiens. » pp. 12-28

que l’on vous trouve courts. » D’un autre côté les véritables Chrétiens s’entredisent les uns aux autres : allons nous prosterner devant la Majesté de celui qui nous a créés, et tachons de fléchir sa miséricorde. […] En effet, un véritable pénitent se doit toujours regarder devant Dieu comme un criminel, qui craint que l’heure de sa mort, qui est toujours incertaine, n’arrive bientôt, et que son Juge irrité ne le livre aux démons, qui sont les Exécuteurs ordinaires de sa Justice : c’est pourquoi il doit employer tout le temps qui lui reste de sa vie à gémir, pour tâcher de fléchir son Juge par ses gémissements, et d’obtenir le pardon de ses péchés. […] Mes yeux, dit-il, jettent des torrents de larmes ; parce que, mon Dieu, je n’ai pas observé votre sainte Loi : « Exitus aquarum deduxerunt oculi mei ; quia non custodierunt legem tuam. » Au lieu donc de rire, ou de prendre plaisir à voir rire les autres, un véritable Pénitent n’est continuellement occupé que de la pensée de son malheur, et de la vue des peines qui lui sont préparées. […] Il faut supposer ici une vérité qui est incontestable ; à savoir, que les Chrétiens durant toute leur vie sont des Voyageurs, qui doivent s’avancer incessamment vers leur véritable patrie, qui est le Ciel, et que Dieu leur a donné le temps, comme un moyen nécessaire pour y pouvoir arriver. […] Or Dieu est le véritable père des Chrétiens ; Jésus-Christ est l’époux de leurs âmes, et on les voit cependant aller à la Comédie, où ils savent que ce Père des Chrétiens, et que cet Epoux de leurs âmes est offensé en cent manières.

20. (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE VI. Les obstacles qu’on peut rencontrer pour parvenir à la Réformation du Théâtre. » pp. 59-68

C’est en suivant ces principes et en prenant ces précautions que l’on écrit et que l’on représente tous les ans dans les Collèges des Poèmes dramatiques ; et, loin de croire que ces Pièces soient capables de corrompre les mœurs des jeunes gens qui les jouent, ou de gâter l’esprit des Spectateurs, je pense, au contraire, que c’est un exercice honnête, dont les uns et les autres peuvent retirer une véritable utilité. […] J’en conclus que le Gouvernement seul peut ordonner et faire exécuter la réformation, malgré les oppositions d’un très grand nombre de personnes mal instruites de leurs véritables intérêts.

21. (1825) Des Comédiens et du Clergé « article » pp. 60-68

En effet, comme le fait très bien voir M. le baron d’Hénin, les véritables auteurs de nos jeux scéniques sont ces pèlerins qui revenant de la Palestine, chantaient aux peuples émerveillés les événements anciens ou récents dont cette terre sacrée avait été le théâtre. […] Cette législation a fait de ceux qui l’exercent de véritables citoyens, supportant les mêmes charges et remplissant les mêmes devoirs que les autres. […] M. le baron Hénin ne démontre pas moins victorieusement (et c’est là le point capital, relativement à l’administration) que, dans les principes de l’Eglise gallicane, l’excommunication, fût-elle réelle, n’étant pas consacrée par la loi civile et personnellement dénoncée, un ecclésiastique se rend coupable d’un véritable délit lorsqu’il refuse les prières publiques à un comédien.

22. (1677) L’Octavius « Paragraphes XXXVI-XXXVIII du texte latin » pp. 159-171

Par des douleurs feintes ils vous tirent des larmes véritables ; Vous souhaitez de vrais homicides, et vous en pleurez de faux. […] Si nous avons été si heureux, que la vérité divine soit manifestée en nos jours ; jouissons de notre bonne fortune, cessons d’en disputer, arrêtons la superstition, chassons l’impiété, que la véritable Religion triomphe toute seule.

23. (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 2. SIECLE. » pp. 81-106

Il nous est défendu d'être spectateurs des duels, de peur que nous ne devenions complices des meurtres qui s'y font: Nous n'osons pas assister aux autres Spectacles, de peur que nos yeux n'en soient souillés, et que nos oreilles ne soient remplies de vers profanes qu'on y récite; comme lors qu'on décrit les crimes, et les actions tragiques de Thyeste, et qu'on représente Terrée mangeant ses propres enfants; et il ne nous est pas permis d'entendre raconter les adultères des Dieux, et des hommes, que les Comédiens attirés par l'espoir du gain, célèbrent avec le plus d'agrément qu'il leur est possible: Mais Dieu nous garde, nous qui sommes Chrétiens, dans qui la modestie, la tempérance, et la continence doivent reluire, qui regardons comme seul légitime le Mariage avec une seule femme, nous chez qui la chasteté est honorée, qui fuyons l'injustice, qui bannissons le péché, qui exerçons la justice, dans qui la Loi de Dieu règne, qui pratiquons la véritable Religion, que la vérité gouverne, que la grâce garde, que la paix protégé, que la parole divine conduit, que la sagesse enseigne, que Jésus-Christ qui est la véritable vie régit, et que Dieu seul règle par l'empire qu'il a sur nous: Dieu nous garde, dis-je, de penser à de tels crimes, bien loin de les commettre. […] C'est une grande sensualité à des Chrétiens de chercher leurs plaisirs en ce monde; ou plutôt, c'est une étrange manie de considérer, comme un véritable plaisir, les voluptés de ce siècle. […] Quelle plus grande volupté peut-on sentir, que celle qui nous dégoute de toutes les autres voluptés, qui nous fait mépriser le siècle; qui nous établit dans une véritable liberté ; qui conserve la pureté de notre conscience ; qui nous rend satisfaits de notre condition présente; qui fait que nous n'avons aucune crainte de la mort; qui nous fait fouler aux pieds les Idoles des Païens; qui nous tend victorieux des Démons; qui fait que nous ne vivons que pour Dieu ?

24. (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE III. En quoi consiste le Plaisir de la Tragédie, & de la grande émotion que causoient les Tragédies Grecques. » pp. 49-62

Et que ne doivent point perdre après tant de siecles, & devant nous les Tragédies Grecques, qui dépouillées de la magnificence de ces Représentations dont j’ai parlé, le sont encore de l’Harmonie d’une Déclamation, qui par la variété de la versification, devoit être une espece de Musique, & de leur véritable Musique, qui étoit celle de leurs Chœurs ? […] Il retentissoit des lamentations de véritables Malheureux, d’une Hecube, d’un Œdippe, d’un Philoctete &c. […] Ces Poëtes Tragiques alloient donc directement à la fin de leur Art, ne songeant qu’à exciter une grande émotion, le véritable plaisir de la Tragédie ; parce que notre Ame, comme je l’ai dit, n’est jamais si contente, que quand elle est dans l’émotion.

25. (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE V. En quoi consiste le Plaisir de la Comédie, & de ce Sel qui assaisonnoit les Comédies Grecques. » pp. 131-144

Elle devint plus utile aux mœurs, mais elle perdit son véritable caractere, qui est d’être plaisante. […] Le rire n’est pas toujours le témoignage de la joie, & dans la véritable joie, comme celle que nous cause une heureuse nouvelle, nous ne rions jamais. […] Jean Chrysostome (supposé que ce qu’on dit de lui soit véritable) pouvoit se délasser à la lecture d’Aristophane, en y cherchant le stile élégant de sa Langue ; & il étoit permis à un S.

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