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48. (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — Extrait des Registres de Parlement, du 22 Avril 1761. » pp. 210-223

Il n’y a, Messieurs, aucune de ces Piéces où il n’y ait du venin ; nous oserions même vous assurer qu’à chaque page, pour ainsi dire, il a des propos indécens, ou des erreurs, ou des impiétés : j’en citerai seulement quelques traits. […] Les momens précieux de la Cour ne me permettent pas, Messieurs, de faire l’analyse du second Mémoire à consulter, contenant deux cens vingt pages.

49. (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  De la suprématie de la puissance séculière sur la puissance ecclésiastique ; des erreurs et des crimes du clergé et des anathèmes fulminés par les conciles contre les prêtres et les séculiers qui attentent à l’autorité et à la vie des souverains. » pp. 331-345

[NDE] Cette page est numérotée 331 au lieu de 361, et cette nouvelle numérotation est suivie jusqu’à la fin du texte. Pour éviter toute confusion, les numéros de pages jusqu’à la fin sont suivis d’un astérisque.

50. (1705) Traité de la police « Chapitre IV. De la Comédie Française ; son origine, son progrès, et les Règlements qui ont été faits pour en permettre, corriger et discipliner les représentations, ou pour en assurer la tranquillité. » pp. 439-445

Nous, conformément aux ordres de Sa Majesté, avons fait et faisons très expresses défenses à tous vagabonds et gens sans condition, même à tous Soldats, de se trouver aux environs du lieu où l’Académie de Musique est établie, les jours des représentations qui y seront données au Public, à peine de prison ; et à tous Pages et Laquais, d’y faire ni exciter aucun bruit ni désordre, à peine de punition exemplaire, et de deux cents livres au profit de l’Hôpital Général, dont les Maîtres demeureront responsables, et civilement tenus des violences et désordres qui auront été faits par lesdits Pages et Laquais. […] Comme aussi faisons très expresses défenses à tous Pages et Laquais de s’y attrouper, d’y faire aucun bruit ni désordre, à peine de punition exemplaire et de deux cents livres d’amende au profit de l’Hôpital Général, dont les Maîtres demeureront responsables, et civilement tenus de tous les désordres qui auront été faits ou causés par lesdits Pages et Laquais. […] Nous, conformément aux ordres exprès de Sa Majesté ; avons fait et faisons très expresses défenses à tous vagabonds et gens sans condition, même à tous Soldats, de se trouver aux environs du lieu où l’Académie de Musique est établie, les jours des représentations qui y seront données au Public, à peine de prison ; et à eux et à tous Pages et Laquais d’y faire ni exciter aucun bruit ni désordre ; et généralement à tous gens de livrée, sous quelque prétexte que ce soit, de se présenter à la porte de l’Académie pour y entrer, même en payant, à peine de punition exemplaire.

51. (1731) Discours sur la comédie « TABLE DES DISCOURS. » pp. -1

Page 1.

52. (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE PREMIER. Allégations de M. de Sénancourt, dirigées contre l’auteur du livre intitulé : Des Comédiens et du Clergé. » pp. 49-51

[NDA] Voyez le Tome IX, n° 110, page 262, du Mercure du dix-neuvième siècle, in-8°.

53. (1715) La critique du théâtre anglais « privilège du roi. » pp. 502-504

ÉÉ sur le Registre N°. 3. de la Communauté des Libraires et Imprimeurs de Paris, page 823. n°. 1011. conformément aux Règlements, et notamment à l’Arrêt du Conseil du 13. 

54. (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE VI. Des Comédiens français rétablis dans leurs droits civils et religieux, à raison de leur profession, et entièrement affranchis des anathèmes et des excommunications de l’Eglise. » pp. 130-133

de Sénancourt ne pourra pas assurément m’accuser ici d’hypocrisie, et encore moins de chercher à décliner la juridiction ecclésiastique en matière d’excommunication, car on trouvera à la page 154 du livre intitulé des Comédiens et du Clergé, l’indication d’une catégorie assez nombreuse de ceux qui encourent les anathèmes et que l’église réprouve et condamne : on y verra un vaste champ ouvert au Code pénal religieux ; mais au moins le comédien, en se trouvant confondu dans l’immense majorité des pécheurs de chaque catégorie, ne verra pas sa profession spécialement et uniquement frappée de l’animadversion des prêtres ; il aura un sort commun avec tous les autres infracteurs des pratiques de notre religion, et ne subira pas une spécialité outrageante pour avoir exercé une profession dans laquelle il a été institué, soutenu, encouragé et honoré par le prince et par nos lois.

55. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Le Comte de Chavagnac & le Marquis de… » pp. 188-216

Dans une fête qu’elle donna, tous les honnêtes gens de la Cour firent des livrées, dépenses si excessives, que le moindre justaucorps de leurs Pages coûtoit trente louis, (ducats sans doute). […] Un Page du nouveau Roi joua la sienne en Page. […] Le Page s’évada, & fit fort bien. […] Celle-ci, ayant tout découvert par le moyen d’un Page, amant de la Danseuse, qui s’étoit brouillé avec elle, engagea un Officier, son amant, à faire l’amoureux de sa rivale, moyennant cinquante louis, qu’elle lui remit, afin d’en obtenir un rendez-vous.

56. (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XX. Exemples de pratique. » pp. 48-50

  Nota pour la page 30.

57. (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Idée des spectacles novveavx. Livre II. — Chapitre X. Des entrées faites aux Rois & aux Reines. » pp. 205-208

I’ay soûpiré aprés une galanterie qui manquoit à la Pompe de l’une & de l’autre, & qui estoit une des plus singulieres beautez dont on pouvoit les orner ; c’étoit une ou plusieurs Escadres des belles Dames montées, ou sur Palefrois, ou sur des Chariots avec leurs Escuyers & leurs Pages, & les autres accompagnemens dont elles pouuoient se parer.

58. (1580) De l’institution des enfants « De l’institution des enfants. Essais, I, 26 [fin] »

Nous donnons donc les pages de l'édition de référence de P.

59. (1756) Lettres sur les spectacles vol. 2 «  AVERTISSEMENT. DU LIBRAIRE. » pp. -

Elles sont toutes les deux analogues à la Lettre que ce célebre Académicien donna au Public en 1759, & qui est rapportée toute entiere, page 477 de ce Volume, comme un monument précieux, & capable de fixer les idées sur l’effet moral de nos Spectacles.

60. (1756) Lettres sur les spectacles vol. 2 «  TABLE. DES MATIERES. Et des Personnes dont il est parlé dans les deux Volumes. » pp. 567-614

A Académiciens  ; devoirs des gens de Lettres, Tome a, Page 260 Adélaïde (Madame) de France. […] Incertitude de l’ame, lorsqu’après s’être écartée du bien, elle pense à y retourner, b, 502 Boileau (l’Abbé), Editeur d’un Ecrit de la Duchesse de Liancourt, dont il est parlé tome 1, page 231 ; & tome 2, 449 Boileau (Despréaux). […] L’une de ces vues nouvelles est de proposer, page 371, la suppression de ce qu’on nomme le quart des pauvres qui se retient sur la recette des Spectacles ; retenue que l’Auteur dit vexer les Comédiens, & les mettre hors d’état de fournir, sans s’obérer, à la pompe & à la dignité de leur Spectacle. […] Il en a déjà été question dans cette Table, page 579 ; mais on a omis d’y indiquer la page 326 du premier Volume, où il en est aussi parlé. […] Rectifier à cet égard la page 596 du premier volume, & les pages 596 & 598 de cette Table, où cet Evêque se trouve nommé par erreur, Pouillac.

61. (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PLAN. DU THEATRE. et autres Règlements, Qui sont la suite de ce qu’on a déjà vu, page 106 de l’Ouvrage. » pp. 329-337

PLANDU THEATRE et autres Règlements, Qui sont la suite de ce qu’on a déjà vu, page 106 de l’Ouvrage.

62. (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE IV. » pp. 78-112

Je ne veux citer ici qu’une faute grossière contre le bon sens, qui est après qu’il dit dans la page 38 […] » Car après que ce prétendu Théologien a voulu justifier la Comédie par cet exemple, il se contredit dans la page 58. […] C’est en la page 38. de la première Edition de cette Lettre, où saint Antonin Archevêque de Florence se trouve cité comme approbateur de la Comédie.

63. (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « IV. » pp. 17-22

Despreaux lui-même qui ne sera peut-être pas fâché que je le venge de l’injure qu’on lui fait d’employer son nom et ses vers pour autoriser une chose qu’il a expressément condamnée dans la même page d’où les Vers que je viens de rapporter sont tirés.

64. (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE XIII et dernier. De l’utilité de l’art théâtral, et des dangers attachés à la profession de Comédien, sous le rapport des mœurs. » pp. 223-228

Le Père Bouhours, jésuite que nous avons déjà cité à la page 136 du Chapitre VII, qui précède, a dit que « la comédie purgée de la turpitude des spectacles licencieux, et rectifiée sur le plan d’Aristote, est un amusement agréable, qui n’a rien de pernicieux ». — M.

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