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39. (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XVII. Que les danses sont condamnées dans l’Ecriture, et par les Pères. » pp. 119-141

Et si quelques-uns d’entre eux n’ont pas exprimé cette sorte d’exercice, et ce spectacle particulier, ce n’est pas qu’ils l’estimassent innocent ; mais parce que le peuple du pays dans lequel ils vivaient n’y était pas adonné, comme il est dans le nôtre. […] Mais saint Chrysostome presque dans toutes ses Homélies, invective puissamment contre tous ces exercices du siècle, les appelant quelquefois la peste des villes, et quelquefois la fontaine de tous les maux. […] « C’est une chose exécrable, dit-il, de danser les jours des Fêtes, puisque dans cet exercice les âmes de ceux qui y assistent, tombent dans les pièges du démon, et contractent beaucoup de taches par la vue, par l’ouïe, par le goût, et par l’attouchement. » Bernardinus ser. 10. de observant.

40. (1694) Décision faite en Sorbonne touchant la Comédie, avec une réfutation des Sentiments relachés d’un nouveau Théologien, sur le même sujet « Décision faite en Sorbonne touchant la Comédie. » pp. 1-132

Il est donc constant que quand Saint Thomas a dit que l’exercice des Comédiens et de la Comédie était licite, il n’a jamais voulu parler que de cet exercice considéré en lui-même, et non de la manière dont il se fait dans la pratique ordinaire. […] Saint Antonin au quinzième siècle dit, que l’exercice de Comédien de soi n’est pas illicite, comme le dit saint Thomas, pourvu que l’on observe les circonstances requises des lieux, des temps et des personnes. « Mais lorsque les Comédiens62 , dit cet Auteur, se servent de leur profession pour représenter des choses déshonnêtes, pour blâmer ou pour se moquer des personnes consacrées à Dieu, c’est un péché ; et l’on doit quitter cet exercice comme étant illicite. […] Ce que l’on vient de dire de la Comédie ne peut s’appliquer aux Tragédies qui se jouent dans les Collèges, selon les Lois Académiques, qui sont plutôt des exercices pour ceux qui en sont les Acteurs, que des divertissements pour les personnes qui y assistent. […] Et en tout cas s’il y avait quelque chose contre l’honnêteté dans ces exercices publics qui se font dans les Collèges, on en devrait blâmer l’usage comme celui des Comédies. […] Car outre que les paroles du Synodicon ci-dessus sont trop générales et précises contre les Comédiens pour souffrir cette interprétation puisqu’elles condamnent l’exercice des Comédiens sans distinction, et indépendamment du temps et de l’heure ; c’est qu’il n’est parlé en cet endroit du Rituel que de ceux qui assistent aux Spectacles et non de ceux qui les représentent.

41. (1733) Dictionnaire des cas de conscience « Comédie. » pp. 765766-806

Comme la direction des spectacles et du théâtre ne s’accordait pas avec cet Institut des Confrères de la Passion, il est à croire que cette permission et ce privilège ne leur fut donné que dans la vue d’abolir peu à peu cet exercice. […] Canon 62. « Si un Comédien veut embrasser la foi, il doit auparavant quitter son exercice Conc. […]  » , dit cet Auteur, se servent de leur profession pour représenter des choses déshonnêtes, pour blâmer ou pour se moquer des personnes consacrées à Dieu, c’est un péché ; et l’on doit quitter cet exercice comme étant illicite. […] Charles, de ne point assister à toutes ces représentations fabuleuses, aux Comédies, à certains exercices d’armes, aux autres spectacles vains et profanes, de crainte que leurs oreilles et leurs yeux qui sont consacrés aux divins Offices, ne soient souillés par ces actions et par ces paroles bouffonnes et impures. […] En tout cas, s’il y avait quelque chose contre l’honnêteté dans ces exercices publics qui se font dans les Collèges, on en devrait blâmer l’usage, comme celui des Comédies.

42. (1698) Théologie du cœur et de l’esprit « Théologie du cœur et de l’esprit » pp. 252-267

Toute leur vie ne se passe-t-elle pas dans ce damnable exercice ? […] Sont-ils autre chose que des délassemens de l’esprit, qui le mettent en état de reprendre ses saints exercices, & de les continuer avec plus de perfection ? […] Comme le besoin que nous avons de manger, ne nous permet pas d’user de viandes qui nous nuisent ; le besoin que nous avons de délasser notre esprit, ne nous permet pas non plus de prendre des divertissemens dommageables à notre ame, & qui nous rendent moins propres que nous n’étions, à continuer nos saints exercices.

43. (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre IX. Des mouvements déréglés du corps qui se font dans la danse. » p. 36

Platon même, quoique Païen, veut que ceux qui dansent soient modérés dans cet exercice.

44. (1640) Lettre apologétique pp. 2-42

Lettre apologétique ou défense contre le Libelle du Père Augustin L’Approbation que la Comédie reçoit des plus célèbres esprits de ce siècle, lui sert d’un puissant avantage, pour se défendre contre le Père Augustin, qui non content de la faire l’objet de sa passion, tâche de la rendre odieuse, par la force de ses calomnies, et priver un chacun du plus agréable divertissement, qui sonta entre les exercices de l’esprit. […] Sa plume qui est le truchement de ses pensées, et ses écrits le symbole de ses mœurs, font connaître, que ses œuvres sont l’image de son esprit, et son visage étant l’âme raccourcie de son naturel et le miroir de son cœur, montre par la débilité de son cerveau, que ses sens sont égarés, et que son jugement a sorti les bornesc de la raison, par ce grand débordement d’injures dont son libelle est rempli : Ce Casuiste semble avoir mal pris ses mesures, d’avoir voulu faire un parallèle, de la Profession des anciens Histrions, à celle des Comédiens ; d’autant qu’il n’y a aucune affinité ni correspondance entre leurs exercices, l’une étant un pur batelage et souplesse de corps, et l’autre une représentation d’une fortune privée, sans danger de la vie, comme témoigne Horace, en son livre, de Arte d, « Comedia vero est Civilis privataeque fortunae sine periculo vitae comprehensio » ; Je sais bien qu’il y en a plusieurs, qui ne sachant pas la différence de ces deux professions, confondent l’une avec l’autre, et sans distinction de genre, prennent leur condition pour une même chose ; Mais il y a une telle inégalité entre elles, qu’il est facile de juger par la diversité de leurs fonctions, qu’elles n’ont nulle conformité ensemble, car celle des histrions n’est comme j’ai déjà dit qu’une démonstration d’agilité de corps et subtilité de main, mais l’autre étant une action plus relevée, fait voir qu’elle est une école des plus belles facultés de l’esprit, et où la mémoire fait un office digne d’admiration ; l’antiquité nous apprend qu’autrefois les Romains avaient ces Bateleurs en quelque considération, à cause du divertissement qu’ils donnaient à leurs Empereurs, mais ayant abusé du crédit qu’ils avaient obtenus du Sénat, s’adonnèrent à toutes sortes de licences pernicieuses, ce qui obligea la ville de Rome de les chasser, et particulièrement un nommé Hyster, qui s’étant retiré à Athènes, fut suivi d’une bande de jeunes hommes, auxquels il enseigna ses tours de passe-passe et autres parties de son métier, et furent appelés Histrions, du nom de leur Maître, ces Libertins s’ennuyant de demeurer si longtemps dans un même lieu, prirent résolution de revenir à Rome pour exercer leurs jeux : Mais l’Empereur Sévère, ne pouvant souffrir ces Ennemis des bonnes mœurs, fit publier un Edit, par lequel ils furent pour la seconde fois bannis de tout le pays latin ; Lisez ce qu’en dit Eusebius, et Prosper Aquitanus, sur la remarque des temps et des siècles : Pour le regard des Mimes, ou Plaisanteurse, ils ont pris leur source d’un certain bouffon appelé Mimos qui signifie en langue grecque Imitateur, d’autant qu’en ses représentations il contrefaisait divers personnages, et imitait les façons des uns et des autres. […] Premièrement, Saint Ignace, successeur d’Evodiusen l’Evêché d’Antioche, et duquel l’Antiquité a honoré les Epitres, comme témoigne le Cardinal Baronius en ses annales, écrivant contre l’Empereur Claudius, fulmine de ce qu’il souffrait l’exercice des Mimes, qui infectaient dans Rome, la plupart de la jeunesse, par l’excès de leurs mauvaises vies. […] Ce Sophiste prétendu, s’efforce de persuader au Vulgaire, que ceux de la Religion réformée, ne souffrent aucunement ce divertissement parmi eux, en quoi il montre une grande ignorance ; vu qu’il n’y a Royaume, Province, Contrée ou Ville, où ils ne soient bien reçus et approuvés de ceux qui ont l’autorité souveraine ; en Angleterre le Roi en entretient ordinairement deux troupes à ses gages, qui le suivent quand il va à ses progrèsl, et où j’ai vu même des Ministres assister à leur représentations, entre autre un nommé Joannes Davenantius Professeur de l’Académie Royale, et un certain Vardus Préfet de la même Académie, qui tous deux avaient été députés au Synode de Dordrecht, comme des plus notables du Royaume : Dans la Hollande j’ai toujours vu des lieux érigés pour cet exercice, et particulièrement à Amsterdam, où s’est fait depuis peu le plus magnifique Théâtre de l’Europe, pour la Jeunesse de la Ville.

45. (1687) Instruction chrétienne pour l’éducation des filles « CHAPITRE XIII. Des jeux, des spectacles, et des bals, qui sont défendus aux Filles Chrétiennes. » pp. 274-320

On voit des femmes et des Filles si entêtées, et si passionnées du jeu, qu’elles n’ont que cela dans l’esprit, elles en perdent le boire et le manger, et passent en cet excès les jours et les nuits, sans se mettre en peine de s’acquitter de leurs devoirs essentiels ; elle négligent même leurs prières, et souvent perdent la Messe les Fêtes et le Dimanches ; on les voit toujours occupées de leur perte ou de leur gain, du lieu où elles iront jouer, où l’on tiendra table ouverte, et où l’on s’assemblera ; enfin, elles sont si souvent dans l’exercice du jeu, qu’elles courent risque de mourir les cartes à la main ; jusques là même que j’ai ouï dire, qu’une femme de qualité étant en couche, demandait sans cesse à sa garde, quand elle pourrait jouer, ne s’affligeant d’autre chose, que de ce que ses Médecins ne lui permettaient pas de battre des cartes, ou de remuer des dés. […] Précurseur, qui faisait l’admiration de la Judée, au rapport même de l’Historien Joseph, que faire danser devant le Roi une Fille mondaine fort ajustée, et fort adroite à cet exercice. […] Chacun de son côté fait diverses postures de son corps, l’âme se répand toute par les yeux qui sont pleins de douceurs et d’œillades lascives : on s’échauffe dans cet exercice : on cherche à se plaire l’un à l’autre, et on s’empresse de se rendre mutuellement des témoignages de l’estime et de l’affection dont on se trouve possédé. […] Oseriez-vous défendre et soutenir comme innocent un exercice, qui ne respire qu’orgueil et qu’impudicité ? […] Il rapporte aussi qu’anciennement on imposait trois ans de pénitence à ceux qui avaient dansé et qu’on les menaçait même de les excommunier, s’ils persévéraient dans cet exercice.

46. (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE IV. Traité de la Danse de Cahusac. » pp. 76-104

Basile (que je n’ai pu trouver) qui représente, dit Cahusac, les Anges toujours occupés dans le ciel à l’exercice de la da danse, & nous exhorte à les imiter : Quid beatius potest esse in terra quàm tripudium Angelorum imitari ? […] Je sais que la danse est un exercice naturel à l’homme, que sans que le démon s’en mêle, on a pu en faire un art, & la perfectionner, comme le chant, la peinture, les armes, &c. […] Les danses nuptiales furent aussi les peintures les plus licentieuses : les danseurs joignoient à la licence du sujet la grossiereté de l’exécution ; on vit des Sénateurs s’avilir par cet indigne exercice. […] Qu’à la bonne heure il l’appelle un amusement agréable, un exercice du corps, utile à la santé, qui donne de l’agilité & des graces, pourvu qu’il soit renfermé dans de justes bornes. […] Les repas & les bals n’offroient qu’un assemblage fortuit de danseurs la plupart ignorans, mal faits, mal habillés, mal assortis, sans goût, sans exercice, sans grace, sans oreille ; c’étoit une cohue qui sautoit, trépignoit, faisoit du bruit, & fatiguoit plus qu’elle ne divertissoit.

47. (1667) Traité de la comédie et des spectacles « La tradition de l'Eglise sur la comédie et les spectacles. Les conciles » pp. 53-68

La troisième chose qu'il faut remarquer, c'est que quoiqu'un Concile d'Afrique, tenu l'an 424 se soit contenté de demander aux empereurs qu'ils défendissent tous les Spectacles à de certains jours plus particulièrement destinés au culte de Dieu, et aux exercices de piété, cela ne signifie pas qu'il prétendît les approuver et les permettre les autres jours. […] Si des Comédiens veulent embrasser la Foi Chrétienne, Nous ordonnons qu'ils renoncent auparavant à leur exercice; et qu'ensuite ils y soient admis, de sorte qu'ils n'exercent plus leur premier métier.

48. (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE X. De la protection due aux Comédiens par le ministère public, contre les entreprises du fanatisme. » pp. 174-185

Dans cette dernière circonstance, l’outrage est fait non seulement à la personne et à la profession du comédien, mais encore aux autorités suprêmes, qui ont autorisé et commandé son exercice. […] Les prêtres, non seulement naissent sujets du roi, et soumis à toutes les lois du royaume, comme les autres citoyens, mais ils ne peuvent dans l’exercice de leurs fonctions, rien faire, rien articuler, de contraire à la volonté du prince et aux lois de l’Etat.

49. (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « EXTRAIT DE QUELQUES PENSEES SAINES. Qui se rencontrent dans le livre de J.J. Rousseau contre le Théâtre, ou condamnation de son système par lui-même. » pp. 66-77

La nature lui impose également l’exercice et le repos, le plaisir et la peine ; le dégoût du travail accable plus les malheureux que le travail même. […]  » « Le Régiment de Saint-Gervais avait fait l’exercice, et selon la coutume, on avait soupé par compagnies : la plupart de ceux qui les composaient se rassemblèrent après le souper dans la Place de Saint-Gervais, et se mirent à danser tous ensemble, Officiers et Soldats, autour de la fontaine, sur le bassin de laquelle étaient montés les Tambours et Fifres, et ceux qui portaient les flambeaux.

50. (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Huitième Lettre. De la même. » pp. 100-232

Ainsi, dans les maisons publiques d’éducation, il y aura des Exercices établis pour perfectionner dans les jeunes gens des deux sexes le talent de l’Imitation Théâtrale. […] Les talens naturels seuls, ne suffiront pas, pour être admis à briller dans ces Exercices ; il faudra que la jeunesse y joigne l’accomplissement de tous ses devoirs. […] Décence dans les Exercices. […] Il arrive de-là que l’attention à former la jeunesse, à l’assouplir par les Exercices agréables, n’est pas assez générale. […] Ce sont des Citoyens, des fils, des frères, des amis, auxquels la satisfaction d’être applaudis par leurs Concitoyens, tient lieu d’appointement ; ce sont des jeunes-gens, en un mot, qui, par des exercices utiles, achèvent leur éducation.

51. (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXVIII.  » p. 489

 » Cet autel est le cœur de l'homme, et chaque chrétien est le Prêtre qui doit avoir soin de nourrir sur l'autel de son cœur le feu de la charité, en y mettant tous les jours du bois c'est-à-dire, en l'entretenant par la méditation des choses de Dieu et par les exercices de piété.

52. (1675) Traité de la comédie « XXVIII.  » pp. 321-322

 » Cet autel est le cœur de l'homme: et chaque Chrétien est le Prêtre qui doit avoir soin de nourrir sur l'autel de son cœur le feu de la charité, en y mettant tous les jours du bois, c'est-à-dire, en l'entretenant par la méditation des choses de Dieu, et par les exercices de piété.

53. (1664) Traité contre les danses et les comédies « TABLE DES CHAPITRES du contenu en ce Livre » pp. -

Qu’on ne peut danser sans péché les jours qui sont particulièrement destinés à l’exercice de la piété Chrétienne. p. 41.

54. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE II. Des Spectacles des Communautés Religieuses. » pp. 28-47

Les drames religieux amusent sans conséquence des personnes bien disposées, qui n’en abusent pas, et qui dans la retraite, privées de tous les plaisirs, et sans cesse occupées à des exercices de piété, ont besoin de quelque délassement. […] Sulpice, qu’on a longtemps accusé de pousser l’éloignement du monde jusqu’à la misanthropie, la simplicité des habits jusqu’à la malpropreté, l’exactitude aux exercices de piété jusqu’à la minutie, et qui cependant dans les temps heureux de sa plus grande ferveur, au grand et au petit Séminaire, à la Communauté des philosophes, à celle de Lisieux, avait dans chacune de ses maisons de campagne des théâtres toujours dressés, qu’en termes d’argot on appelait le moulin, et où pendant tout le temps des vacances, sous les yeux de leurs graves Supérieurs, spectateurs, approbateurs, souvent instigateurs, les Séminaristes exerçaient, représentaient, composaient à loisir et in promptu les pièces les plus comiques, soit imprimées, soit de leur façon ? […] Les Evêques les honoraient de leur présence, et étaient régalés en vers et en prose ; les compositeurs, acteurs, chanteurs, siffleurs, machinistes, n’étaient pour cela dispensés d’aucun exercice du Séminaire. […] Les jeux publics étaient alors des exercices de religion : est-il étonnant que les Prêtres et les Prêtresses y assistassent ?

55. (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre VII. De ceux qui sont aux autres occasions de ruine, et de péché. » pp. 30-32

Mais ce n’est pas seulement celui qui peut probablement juger qu’une personne certaine péchera mortellement à l’occasion de la danse, qui se rend coupable de péché mortel : cela s’étend encore à tous ceux, qui sur ce que l’on sait arriver ordinairement, ont juste sujet d’appréhender en général, que dans l’assemblée qui se fait pour cet exercice, il y en aura qui pécheront grièvement.

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