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16. (1731) Discours sur la comédie « TROISIEME DISCOURS » pp. 304-351

En effet, Messieurs, que pourrait-on dire contre la Comédie, si on ne la trouvait point incompatible avec les oracles de Dieu ? […] Dieu jugera toutes les actions. […] Et la charité définie de cette sorte par l’Apôtre, embrasse les deux préceptes de l’amour de Dieu et de l’amour du prochain. […] la chaste Judith qui n’est occupée que de son Dieu, aime à voir des Amants curieux et jaloux ! […] , dit que l’Ecriture est à la Hiérarchie de ce monde, ce que Dieu est à la Hiérarchie du Ciel.

17. (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — X.  » pp. 464-465

Dieu ne demande proprement des hommes que leur amour ; mais aussi il le demande tout entier. […] La plénitude de la charité que nous devons à Dieu, dit Saint Augustin, ne permet pas que l'on en laisse couler au-dehors aucun ruisseau, « nullum rivum duci extra patitur ». C'est pourquoi quelque honnêteté qu'on se puisse imaginer dans l'amour d'une créature mortelle, cet amour est toujours vicieux et illégitime, lorsqu'il ne naît pas de l'amour de Dieu ; et il n'en peut naître lorsque c'est un amour de passion et d'attache, qui nous fait trouver notre joie et notre plaisir dans cette créature. Un Chrétien qui sait ce qu'il doit à Dieu ne doit point souffrir dans son cœur aucun mouvement, ni aucune attache de cette sorte sans la condamner, sans en gémir, et sans demander à Dieu d'en être délivré : et il doit avoir une extrême horreur d'être lui-même l'objet de l'attache et de la passion de quelque autre personne, et d'être ainsi en quelque façon son idole, puisque l'amour est un culte qui n'est dû qu'à Dieu, comme il ne peut être honoré que par l'amour. « Nec colitur nisi amando. » C'est ce qui fait voir qu'il y a une infinité de femmes qui se croient innocentes, parce qu'elles ont en effet quelque horreur des vices grossiers, et qui ne laissent pas d'être très criminelles devant Dieu, parce qu'elles sont bien aises de tenir dans le cœur des hommes une place qui n'appartient qu'à Dieu seul, en prenant plaisir d'être l'objet de leur passion.

18. (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 2. SIECLE. » pp. 81-106

Mais n'est-ce pas quelque infâme qui se masque du visage de votre Dieu ? […] Plût à Dieu qu'il nous fût possible de ne point vivre en ce monde parmi ces gens-là: mais au moins nous devons nous séparer des œuvres du monde, parce que le monde est un ouvrage de Dieu, mais les œuvres du monde sont l'ouvrage du Diable. […] Un homme pensera-t-il à Dieu dans les lieux où il n'y a rien de Dieu ? […] à Dieu ne plaise que ses serviteurs se laissent emporter à une telle passion, pour un plaisir pernicieux; car n'est-ce pas un aveuglement étrange de quitter l'Eglise de Dieu pour courir à celle du Diable ? […] C'est une étrange ingratitude de n'estimer pas autant qu'il le faut, de ne vouloir pas même, connaître les abondantes et précieuses délices que Dieu vous a préparées : Qu'y a-t-il de plus aimable, et de plus propre à nous donner une extrême joie; que d'être réconciliés avec Dieu ; que d'être éclairés de sa vérité ; que de connaître les erreurs qui lui sont opposées ; que d'être assurés du pardon de tant de crimes que l'on a commis ?

19. (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE II. Excellentes raisons qui ont porté les Pères de l’Eglise à condamner les Comédies, et à les défendre aux Chrétiens. » pp. 12-28

« Nous n’avons pas reçu l’Esprit du monde, mais l’esprit de Dieu ; afin que nous connaissions les dons que Dieu nous a faits. »1. […] Car il est notre Seigneur et notre Dieu. […] Que dirons-nous devant Dieu pour nous justifier contre les Païens ? […] C’est ce qui fait ainsi parler un Prophète de la part de Dieu. […] Dieu ne vous a donné la vie, qu’afin que vous le serviez.

20. (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre II. De deux sortes de Danses, dont il est parlé dans l’Ecriture Sainte. » pp. 6-13

Les unes viennent d’un mouvement de grâce, et sont rapportées au culte de Dieu, comme celles que nous avons marquées au Chap. précédent ; et les autres de l’inclination de la nature vers son propre plaisir, que le S. Esprit condamne comme des exercices, où Dieu est ordinairement offensé. […] Enfin cette Danse sensuelle est exprimée dans la prophétie d’Isaïe « par les démarches mesurées des filles de Sion », qui attiraient la malédiction de Dieu sur elles. […] Esprit, ont fait extérieurement pour le culte du vrai Dieu. L’usage de cette sorte de danses qui selon l’Ecriture servent à glorifier Dieu, ne se trouve point parmi les Chrétiens, si ce n’est peut-être en ce que le Clergé et le peuple fidèle s’assemble pour bénir Dieu, pour le remercier, et pour l’invoquer, enfin pour l’honorer par le Chant, et par le son des instruments de Musique.

21. (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE VI. Euphemie. » pp. 129-148

Je pars, je t’obéis encore plus qu’à Dieu. […] Sa maîtresse est son Dieu. […] Dieu, j’ose à ton autel attester ta grandeur. […] Dieu m’a congédiée. […] La nature indignée & jalouse de Dieu.

22. (1694) La conduite du vrai chrétien « ARTICLE V.  » pp. 415-435

 » C'est donc l’autorité des Magistrats qui concourt à ces grands maux, et à la perte des âmes, par la permission et le consentement qu’ils donnent à ces farceurs et bateleurs : c’est leur permettre d’arracher les âmes d’entre les mains de Dieu, pour les rendre les esclaves du diable. […] Si Dieu ordonne aux Juges par la bouche du même Prophète de prendre le parti des pauvres, contre l’oppression des méchants, et si pour leur infidélité à cet ordre, il dit, que « les fondements de la terre sont ébranlés », c’est-à-dire, les Provinces et les Royaumes dans le trouble et le renversement, par l’occasion que leur faiblesse ou leur lâcheté donne à l’insolence, aux vols, aux pillages, et aux meurtres, appuyés sur l’espérance de l’impunité ; que leur dira-t-il, s’il se trouve que non seulement ils aient été l’occasion de la perte des âmes, mais qu’ils y aient actuellement contribué, comme en effet ils y contribuent, puisque c’est par leur ordre que les Théâtres sont dressés, que ceux qui corrompent les mœurs, y paraissent effrontément, et que Dieu y est outragé publiquement et impunément : qui pourra, je vous prie, mettre à couvert les Juges de si grands maux, vu que c’est leur criminelle tolérance qui en est la source ? Je remarque encore deux choses bien considérables, que le Prophète adresse aux Juges : la première est quand il les appelle « des Dieux et les fils du Souverain » : et la seconde, lors qu’il leur dit, « qu’ils mourront comme des hommes » : car par les premières paroles, il leur représente qu’ils sont revêtus de la puissance de Dieu ; que c’est de lui seul qu’ils tiennent leur autorité sur les autres, et qu’ils sont enfants de Dieu non seulement par adoption, comme le reste des hommes, en tant que unis à Dieu par la foi et par la grâce, mais encore par leur établissement dans leurs Charges, par celui qui est le seul et vrai Dieu, au pouvoir duquel ils participent. […] car, de grâce, quelle est la pratique, quelle est la fin, quel est le fruit de ces gens qui paraissent sur les Théâtres, sinon les mêmes que l’Ecriture marque de cet homme de perdition, et dont ils sont les avant-coureurs, à savoir d’arracher les âmes d’entre les mains de Dieu, pour les faire les esclaves de Satan, par la liberté que Messieurs les Juges leur ont donnée ? […] n’est-ce pas les dérober à Dieu, pour les consacrer au Diable ?

23. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre VII. Troisieme suite du Fard. » pp. 171-194

Dieu bénit un travail honête, par l’accroissement de ces biens naturels ; mais il faut vous contenter de la moisson que Dieu fait naître, & ne pas vouloir forcer la providence par des mensonges, des masques, des entreprises criminelles. […] Dieu voit le fard & le condamne, le monde le voit & s’en moque ; le libertin le voit & en devient plus libertin. […] Glorifiez & portez Dieu dans votre corps, dit l’Apôtre, par la mortification, le travail, la modestie. […] Travail très-inutile à l’Eglise ; n’ont-ils pas blessé le cœur de Dieu par un cheveu ? […] Veut-on que Dieu seul regne, lorsque l’on veut regner sur des amans ?

24. (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXX. Profanation du dimanche : étrange explication du précepte de la sanctification des fêtes. » pp. 109-116

« Est-ce que Dieu a soin des bœufs ? […] Le repos de l’ancien peuple consistait à se relâcher de son travail pour méditer la loi de Dieu, et s’occuper de son service. […] Isaïe y est exprès, puisque Dieu y reproche aux Juifs trois à quatre fois « d’avoir fait leur volonté »Is. […] D’autres le tournent d’une autre manière, mais qui va toujours à même fin, puisqu’il demeure pour assuré que les délices et la gloire du Sabbat est de mettre son plaisir en Dieu : et maintenant on nous vient donner le plaisir de la comédie, où les sens sont si émus, comme une imitation du repos de Dieu et une partie du repos qu’il a établi. […] Il ne faut pas croire que tout ce qu’on tolère à cause de la dureté des cœurs, devienne permis ; ou que tout ce que la police humaine est obligée d’épargner, passe de même au jugement de Dieu.

25. (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXV.  » p. 484

 » Priez Dieu sans discontinuation. […] Il est vrai que cette continuité de la prière ne peut consister dans une attention perpétuelle de l'esprit à Dieu, et qu'il suffit qu'il demeure quelquefois dans un simple désir que Dieu y connaît ; mais il est certain que ce désir s'éteint facilement, si l'on n'a soin de le nourrir par les prières actuelles et par la méditation des choses divines. C'est pourquoi les Chrétiens ne pouvant pas passer toute leur vie dans l'acte de la prière, sont obligés au moins de se renouveler de temps en temps devant Dieu : et comme c'est par ces prières actuelles qu'ils entretiennent celle qui doit être toujours dans le fond de leur cœur, ils doivent éviter avec un grand soin tout ce qui peut rendre leurs prières indignes d'être présentées devant la divine majesté: ce qui les oblige non seulement d'éviter les distractions qui leur surviennent dans la prière, mais beaucoup plus les sources des distractions qui remplissant l'âme de folles pensées, la rendent incapable de s'appliquer à Dieu. Cela suffit pour obliger tous ceux qui ont quelque soin de leur salut de fuir les Comédies, le Bal et les Romans, n'y ayant rien au monde qui fasse sortir davantage l'âme hors de soi, qui la rende plus incapable de l'application à Dieu, et qui la remplisse davantage de vains fantômes. […] L'on ne se peut pas procurer à soi-même l'esprit de prière, ni cette sainte ardeur qui s'excite quand il plaît à Dieu par la méditation : « Et in meditatione mea exardescet ignis.

26. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE I. Du sombre pathétique. » pp. 4-32

à Dieu ! […] si c'est l'esprit de Dieu, Dieu enflamme-t-il son esprit ? […] l'éternité de Dieu est-elle différente de Dieu, pour reposer en Dieu ? […] Dieu même par ta bouche a prononcé tes vœux : Dieu prononce-t-il les vœux qu'on lui adresse ? […] Un Dieu qui domptera ses jaloux adversaires : les passions ne sont point jalouses de Dieu.

27. (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre III. Que les anciens Pères de l'Eglise défendirent aux Chrétiens d'assister aux Jeux du Théâtre, parce que c'était participer à l'Idolâtrie. » pp. 57-89

Comment approuve-t-il contre l'intérêt de Dieu tant de superstitions, qu'il aime sans doute, puis qu'il s'en rende Spectateur ? […] Enfin après y avoir renoncé dans le Baptême, il renonce à Dieu, dans ces Jeux publics. […] Tu les entends blasphémer le Nom de Dieu, et tu le souffres patiemment, tu les vois aller aux Spectacles, et tu ne les retiens pas. […] Quelle folie de s'imaginer que le plaisir est léger, s'il ne fait injure au vrai Dieu, mais une très grande injure ? […] Nous préférons les bouffonneries à l'Eglise de Dieu, nous méprisons ses Autels, et nous allons honorer les Théâtres ; nous y aimons toutes choses, nous y adorons toutes choses, et nous jugeons Dieu seul digne de mépris.

28. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE V. Des Pièces tirées de l’Ecriture sainte. » pp. 96-119

C’est aux Ministres dont Dieu ouvre la bouche, à l’enseigner, et non à des lèvres impures, que le Démon ouvre au mensonge et au vice. […] David n’est plus un homme selon le cœur de Dieu, un grand Prophète, le père du Messie, dont un Homme Dieu daigne porter le nom ; c’est un amant de Bethzabée. […] Un Athée dit ne pas croire en Dieu, un Déiste le suppose indifférent à sa propre gloire ; en se familiarisant si fort avec le Dieu des armées, montre-t-on plus de religion ? […] Dans l’Ecriture elle a recours à la prière, rapporte tout à Dieu, ne cherche que sa gloire, le remercie du succès. […] Elle qui n’envisage que Dieu, qui se dit sous la protection des Anges, à qui Dieu même rend témoignage, que tout le monde regarde avec vénération, fait dépendre son honneur de la présence d’un amant qui ne ferait plutôt que la déshonorer.

29. (1685) Dixiéme sermon. Troisiéme obstacle du salut. Les spectacles publiques [Pharaon reprouvé] « La volonté patiente de Dieu envers Pharaon rebelle. Dixiéme sermon. » pp. 286-325

La volonté patiente de Dieu envers Pharaon rebelle. […] , il n’y aura point de Dieu s’il ne plaît pas aux hommes. […] , dit le Fils de Dieu. […] Que reste-t-il donc à faire & à dire pour conclure cette seconde Partie, sinon de recourir à Dieu, avec S. […] , les citoyens des Saints & les domestiques de Dieu.

30. (1579) De l’Imposture et Tromperie « Livre premier. Des jeux et autres observations séculières retenues de l’ancien Paganisme. Chapitre 22. » pp. 101-107

Pour le service de Dieu elles ont été appliquées au service du diable, qui a gagné ce point contre Dieu sur les hommes qu’il a converti les fêtes de Dieu aux siennes. […] Et Dieu sait si on va parlant comme les pèlerins d’Emmaüs de la Passion et de la Résurrection de Jésus-Christ. […] Lesquelles fêtes et le Sabbat (au lieu duquel nous avons aujourd’hui le Dimanche) n’ont été commandées de Dieu comme il est là dit pour nous donner occasion de ne faire rien, mais seulement de piété : savoir est, pour connaître et penser à la puissance de Dieu, et à éviter le mal. […] Pour lesquels et pour tous ceux que j’ai dits ci-dessus, à bon droit Dieu nous dit aujourd’hui tout ce que s’ensuit. […] La fête et le jour de Dieu ne sont-ils pas ténèbres et non lumière ?

31. (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XI. Qu’on ne peut danser sans péché les jours qui sont particulièrement destinés à l’exercice de la piété Chrétienne. » pp. 41-53

Et ainsi lorsqu’il y a quelque sujet de réjouissance publique, la considération que l’on doit avoir pour l’ordre de l’Eglise et l’obligation qu’ont ses enfants de s’appliquer aux choses de Dieu, ne permet point qu’on puisse légitimement faire choix de ces jours saints pour des divertissements humains et profanes. Et quand bien en ces jours consacrés à la gloire de Dieu, on ne danserait qu’en secret, on ne serait pas exempt de péché ; Car encore que le scandale ne s’y trouve pas, on s’oppose manifestement, non seulement à l’ordre ; mais à l’esprit de l’Eglise, qui est celui de Dieu même ; puisqu’on perd par des actions séculières, le temps qu’elle avait marqué pour la mortification, et pour les autres exercices spirituels nécessaires à la sanctification des âmes. […] Et pourquoi ne serait-il pas permis aux personnes mêmes consacrées à Dieu, de danser, et à celles qui ne le sont pas de prendre ce divertissement dans un lieu saint, et de le faire autant de temps qu’il leur plaira ? […] Certes les vrais Chrétiens, et les enfants de Dieu n’ont pas accoutumé de se servir de ces moyens pour le remercier des bienfaits, qu’ils ont reçus de sa miséricorde ; et nous avons déjà montré, que les danses de l’ancien Testament qui furent rapportées à la gloire de Dieu, et à sa louange, comme celle de Marie sœur d’Aaron, après la ruine de Pharaon, et la perte de son armée, sont bien différentes, et bien éloignées de celles d’aujourd’hui. […] En effet, comment peut-on accorder ces actions séculières, qui flattent les sens, et donnent du plaisir à la chair, avec les larmes d’une âme vraiment pénitente, qui s’afflige pour rendre honneur à la Justice de Dieu, par la haine qu’elle a conçu contre le péché, et contre elle-même ?

32. (1600) Traité des Jeux comiques et tragiques « [Traité] » pp. 3-62

Dieu leur envoyant efficace d’erreur, pour croire au mensonge, pour s’en repaître, puisqu’ils sont dégoûtés de la vérité. […] Que la règle et mesure de notre foi, est la parole de Dieu. […] Que l’on doit apprendre de la parole de Dieu, quelles choses sont bonnes, mauvaises, ou indifférentes. […] ou veut-on douter, si la fin de notre vocation est la gloire de Dieu, l’édification du prochain, et le salut de nos âmes ? […] Il n’est pas explicitement inclus dans le Décalogue, mais il est implicite dans l’adoration du Dieu unique.

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