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268. (1685) Dixiéme sermon. Troisiéme obstacle du salut. Les spectacles publiques [Pharaon reprouvé] « La volonté patiente de Dieu envers Pharaon rebelle. Dixiéme sermon. » pp. 286-325

, dit le Fils de Dieu. […] remarque que le Fils de Dieu entrant dans la maison de Iaire Prince de la Synagogue, pour resusciter sa fille qui étoit morte, il y trouva des joüeurs de flute, & une troupe de personnes qui faisoient grand bruit, & qui se preparoient à honorer la pompe funebre de la jeune defuncte, au son de leurs instrumens, mais Jesus-Christ rompit cette feste lugubre, & chassa ces musiciens importuns.

269. (1772) Sermon sur les spectacles. Pour le Jeudi de la III. Semaine de Caresme [Sermons pour le Carême] « Sermon sur les spectacles » pp. 174-217

Heureux Initiés, s’écrioit Saint Jean Chrysostome, ignorez-vous à quelle condition le Seigneur vous adopta pour fils ?

270. (1788) Sermons sur les spectacles (2) « Sermons sur les spectacles (2) » pp. 6-50

Vous y êtes venus sous les auspices de ce juste, de ce fils de David, à qui Jésus Christ a donné le doux nom de père, & qui en a eu, pour ce Dieu fait homme, toute la tendresse ; qui l’a soustrait aux fureurs du cruel Hérode, qui a protégé son enfance, qui l’a nourri du travail de ses mains.

271. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre V. Du Luxe des coëffures. » pp. 115-142

Absalon fils de David, si cher à son pere, & si peu digne de l’être, passoit pour le plus bel homme du Royaume d’Israel de la tête aux pieds, il étoit sans défauts, sa chevelure extrêmement longue faisoit sa plus grande beauté ; il en étoit trés-curieux.

272. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre VIII.  » pp. 195-221

Pour ne pas troubler ses études, par l’amour d’une femme, & l’embarras du ménage, & pour mieux rappeller l’idée de la science Mathématique & Astronomique de la mere, il appelle son fils naturel Astrolabe.

273. (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre IV. Suite d’Anecdotes Ecclésiastiques. » pp. 106-132

Felix, & lui dit les larmes aux yeux & la douleur dans le cœur : Nous montons à Jerusalem, & nous allons voir la triste consommation des cheses prédites du Fils de l’homme.

274. (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE II. Des Masques. » pp. 28-54

Un usurier, un voleur, un homme d’intrigue se donne pour un honnête homme, un domestique frippon affecte une grande fidélité, une fille livrée à la galanterie joue l’Agnès ou la Lucrèce, un traître contrefait l’ami le plus tendre, un fils désobéissant fait des protestations de respect, &c.

275. (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE IV. Suite des Masques. » pp. 82-109

votre fils mourra : Cur aliam te esse simulas ?

276. (1731) Discours sur la comédie « SECOND DISCOURS » pp. 33-303

Commode fils et successeur de Marc-Aurèle fut si déréglé, que le peuple ne pouvant le croire fils de ce sage Prince, disait hautement qu’il était fils d’un Gladiateur, et l’on croyait en avoir des preuves. […] Racine le fils, et l’Auteur de la République des Lettres : ce que nous a appris l’exemple de M. […] Est-il un homme qui conseillât à son fils, pour exercer son courage, d’aller attaquer des Voyageurs sur le grand chemin ?

277. (1671) La défense du traité du Prince de Conti pp. -

Vous êtes Fils, Monseigneur , d’un Père qui s’opposa fortement pendant sa vie, à cette profanation ; et qui fit connaître à tout le monde, qu’il n’y a que la seule Vertu toute pure qui puisse rendre les actions honnêtes, et dignes du Christianisme. […] C’est pourquoi dès que Monseigneur son Fils aîné eut atteint l’âge de trois ans, il s’appliqua lui-même avec Madame la Princesse sa Femme, à lui apprendre les principes, et l’abrégé de la doctrine Chrétienne, avec l’Histoire du vieux et du nouveau Testament : ce que ce jeune Prince apprenait avec une facilité merveilleuse, en se jouant, et avec un plaisir extraordinaire, donnant des marques d’un esprit, et d’un jugement qui surpassait son âge. […] Puerum interea obtruncat, membraque articulatim dividit, Perque agros passim dispergit corpus, id ea gratia Ut dum nati dissipatos artus captaret parens Ipsa interea effugeret, illum ut mœror tardaret sequ, Sibi salutem ut familiari pareret parricidio. » De tomber en ses mains, et d’être sa conquête ; Elle égorge son frère, et sème par les champs Les membres de son corps déchirés et sanglants ; Et le fruit qu’en attend cette sœur inhumaine, Est d’amuserr son père, et de fuir sans peine, Tandis que de douleur ce vieillard transpercé, Ramassera son fils en pièces dispersé. […] » En voici un exemple tiré d’une Comédie intitulée Les Synéphèbes ; qui instruit les fils de famille à dérober leur père, par des fourbes, par des tromperies, et par de mauvais traitements. […] Quiconque donc croit en un Dieu le Père qui règne avec son Fils, et le S. 

278. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Le Comte de Chavagnac & le Marquis de… » pp. 188-216

Fils d’un pere Huguenot & d’une mere Catholique, étant malade à l’extrêmité, il refusa de voir des Religieux qui venoient l’exhorter, & envoya son valet dire à son pere qu’il mourroit Huguenot, & à sa mere qu’il mourroit Catholique, moyen de les consoler , dit-il, qui sent tout-à-fait son Athée .

279. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre V. Du Faste. » pp. 154-183

Un Être en peinture qui n’existe plus depuis deux mille ans, un Être sorti de la fange, un fils de savetier, une servante de cabaret, une fille livrée au public.

280. (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre IV. Du Conquérant de Sans-souci. » pp. 88-120

Ces trois Princes se garantissent mutuellement leurs états, & le privilege de leur commerce & le maintien de la paix d’Utrech ; & l’année d’après, ce même Roi de Prusse abandonne ses alliés, & se ligue contr’eux avec leurs ennemis l’Empereur, la Czarine, le Roi d’Espagne ; mais il joue la comédie, il tient le traité caché, fait semblant de persister dans l’alliance pour mieux surprendre ceux qui comptoient sur sa bonne foi ; c’étoit le prologue des comédies que joua son fils dans la suite, qui penserent faite périr les armées françoises, mais qui ne réussirent ni à l’un ni a l’autre.

281. (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE VI. Suite de la Danse. » pp. 140-167

Jamais Salomon son fils ne pensa à célébrer par des danses la fête de la dédicace, qui dura pourtant près d’un mois.

282. (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE VII. Du Père Porée. » pp. 149-177

Voyez ce père de famille dans son cabinet, dévorant le roman anti-chrétien du Dictionnaire de Bayle, la femme d’un autre côté dans un cercle de femmes lisant le roman impie des Lettres Persannes, son fils étudiant l’Espion Turc, sa fille se repaissant des Contes de Mille & un Jour, désirant peut être de régner dans un serrail, comme les beautés Indiennes dont elle lit les aventures.

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