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266. (1666) Réponse à l'auteur de la lettre « letter » pp. 1-12

et doutez-vous qu’il ne soit bien aisé de faire voir que le Christianisme a de l’horreur pour le Théâtre, puisque d’ailleurs le Théâtre a tant d’horreur pour le Christianisme ?

267. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VII. De l’infamie canonique des Comédiens. » pp. 153-175

Fussent-ils d’ailleurs de bonnes mœurs, ce qui n’est pas, et ne peut être, aucun Prêtre ne peut leur donner l’absolution, à moins qu’ils ne quittent absolument leur métier.

268. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VIII. De l’excommunication des Comédiens. » pp. 176-199

D’ailleurs, bien plus, et bien tristement occupée des schismes, des hérésies innombrables, des progrès du mahométisme, qui la désolaient, on faisait peu d’attention aux divertissements des places publiques.

269. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE II. Le Théâtre purge-t-il les passions ? » pp. 33-54

D'ailleurs de si violents efforts, de si violentes agitations sont bien fatigantes ; c'est acheter le plaisir bien chèrement, c'est réunir le danger, la faute et la peine.

270. (1667) Lettre sur la Comédie de l'Imposteur « Lettre sur la Comédie de l’Imposteur » pp. 1-124

Il réplique que « ce n’est pas ce motif seul », mais que « c’est, outre cela, par un zèle particulier » qu’il a pour elle : et sur ce propos se met à lui conter fleurette en termes de dévotion mystique, d’une manière qui surprend terriblement cette femme ; parce que d’une part il lui semble étrange que cet homme la cajole ; et d’ailleurs il lui prouve si bien par un raisonnement tiré de l’amour de Dieu, qu’il la doit aimer, qu’elle ne sait comment le blâmer. […] Or ce mépris est un sentiment relatif de même que toute espèce d’orgueil, c’est-à-dire qui consiste dans une comparaison de la chose mésestimée avec nous au désavantage de la personne dans qui nous voyons cette chose, et à notre avantage : car quand nous voyons une action ridicule, la connaissance que nous avons du Ridicule de cette action nous élève au-dessus de celui qui la fait ; parce que, d’une part, personne n’agissant irraisonnablement à son su, nous jugeons que l’homme qui l’a faite ignore qu’elle soit déraisonnable, et la croit raisonnable, donc qu’il est dans l’erreur et dans l’ignorance, que naturellement nous estimons des maux ; d’ailleurs, par cela même que nous connaissance son erreur, par cela même nous en sommes exempts : donc nous sommes en cela plus éclairés, plus parfaits, enfin plus que lui.

271. (1772) Sermon sur les spectacles. Pour le Jeudi de la III. Semaine de Caresme [Sermons pour le Carême] « Sermon sur les spectacles » pp. 174-217

j’en suis sûr, quelque disposés que vous fussiez d’ailleurs, vous craindriez que la mort ne vous y surprît.

272. (1700) IV. Sermon des spectacles, comedies, bals, etc. [Sermons sur tous les sujets de la morale chrétienne. Cinquiéme partie] « IV. Sermon des spectacles, comedies, bals, &c. » pp. 95-126

Je continuë donc de parler de ceux que la seule passion du plaisir a inventez, qui sont les mêmes qui deviennent criminels à l’égard de certaines personnes, & qui ne sont jamais sans danger à l’égard des autres, tels que sont les bals, comedies, balets, & les autres de cette nature, qui sont en usage dans ce siecle, & qui sont presque l’unique occupation des gens de qualité en ce temps de divertissement ; & je soutiens encore une fois, qu’ils sont dangereux à l’égard de tout le monde ; c’est à dire que s’ils ne font pas une occasion prochaine de peché à l’égard de tous, le danger est toûjours assez grand, pour porter tous ceux qui craignent l’offense de Dieu, à les fuir ; vû que d’ailleurs il est bien rare que la bienseance, ou leur devoir leur impose une espece d’obligation d’y assister.

273. (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre V. Suite des Parfums. » pp. 112-137

Ce poëme est d’ailleurs bien écrit.

274. (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE II. Du Mariage. » pp. 30-54

Le père & le fils, plus irrités que jamais, recommencent à s’injurier comme des crocheteurs, & finissent la scène par ces paroles horribles, qui d’ailleurs ne servent de rien à la marche de la piece.

275. (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE II. Théatres de Société. » pp. 30-56

Le sieur Renaudin a établi un magasin où l’on trouve toute sorte d’habits de théatre pour homme, femme, tragédie, comédie, opéra, pour toute sorte de rôles, de nations, de costume ; on en fait faire d’ailleurs dans le goût de ceux qui le commandent & en fournissent les modelles.

276. (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE III. Immodestie des Actrices. » pp. 57-84

L’eût-on d’ailleurs, on transformeroit bien-tôt le spirituel en corporel très-grossier.

277. (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE IV. Suite des Masques. » pp. 82-109

Mais Godefroi remarque que les stipulations sont plus rigoureuses que les legs, qui sont libres ; que dans l’un on favorise le stipulant, & l’héritier dans l’autre ; que d’ailleurs la demande étoit, vestem suam quæcumque muliebris est, ce qui comprend tout.

278. (1738) Sentimens de Monseigneur Jean Joseph Languet Evéque de Soissons, et de quelques autres Savans et Pieux Ecrivains de la Compagnie de Jesus, sur le faux bonheur et la vanité des plaisirs mondains. Premiere partie « Sentimens de quelques ecrivains De la Compagnie de Jesus, Touchant les Bals & Comedies. Premiere Partie. — Entretien troisieme. Le danger des Bals & Comedies découvert par l’Auteur des Sermons sur tous les sujets de la morale Chrétienne de la Compagnie de Jesus. » pp. 26-56

Je continuë donc de parler de ceux que la seule passion du plaisir a inventez, qui sont les mêmes qui deviennent criminels à l’égard de certaines personnes, & qui ne sont jamais sans danger à l’égard des autres, tels que sont les bals, comedies, balets, & les autres de cette nature, qui sont en usage dans ce siecle, & qui font presque l’unique occupation des gens de qualité en ce tems de divertissement ; & je soutiens encore une fois, qu’ils sont dangereux à l’égard de tout le monde ; c’est-a-dire que s’ils ne sont pas une occupation prochaine de peché à l’égard de tous, le danger est toûjours assez grand, pour porter tous ceux qui craignoit l’offense de Dieu, à les fuir ; vû que d’ailleurs il est bien rare que la bienseance, ou leur devoir leur impose une espece d’obligation d’y assister.

279. (1789) Lettre à un père de famille. Sur les petits spectacles de Paris pp. 3-46

Je n’aime pas d’ailleurs qu’en parlant du peuple, on paroisse supposer qu’il importe peu qu’ils soit perverti ou non.

280. (1822) De l’influence des théâtres « [De l’influence des théâtres] » pp. 1-30

D’ailleurs, ces sortes d’épreuves réussissent-elles toujours ?

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