et doutez-vous qu’il ne soit bien aisé de faire voir que le Christianisme a de l’horreur pour le Théâtre, puisque d’ailleurs le Théâtre a tant d’horreur pour le Christianisme ?
Fussent-ils d’ailleurs de bonnes mœurs, ce qui n’est pas, et ne peut être, aucun Prêtre ne peut leur donner l’absolution, à moins qu’ils ne quittent absolument leur métier.
D’ailleurs, bien plus, et bien tristement occupée des schismes, des hérésies innombrables, des progrès du mahométisme, qui la désolaient, on faisait peu d’attention aux divertissements des places publiques.
D'ailleurs de si violents efforts, de si violentes agitations sont bien fatigantes ; c'est acheter le plaisir bien chèrement, c'est réunir le danger, la faute et la peine.
Il réplique que « ce n’est pas ce motif seul », mais que « c’est, outre cela, par un zèle particulier » qu’il a pour elle : et sur ce propos se met à lui conter fleurette en termes de dévotion mystique, d’une manière qui surprend terriblement cette femme ; parce que d’une part il lui semble étrange que cet homme la cajole ; et d’ailleurs il lui prouve si bien par un raisonnement tiré de l’amour de Dieu, qu’il la doit aimer, qu’elle ne sait comment le blâmer. […] Or ce mépris est un sentiment relatif de même que toute espèce d’orgueil, c’est-à-dire qui consiste dans une comparaison de la chose mésestimée avec nous au désavantage de la personne dans qui nous voyons cette chose, et à notre avantage : car quand nous voyons une action ridicule, la connaissance que nous avons du Ridicule de cette action nous élève au-dessus de celui qui la fait ; parce que, d’une part, personne n’agissant irraisonnablement à son su, nous jugeons que l’homme qui l’a faite ignore qu’elle soit déraisonnable, et la croit raisonnable, donc qu’il est dans l’erreur et dans l’ignorance, que naturellement nous estimons des maux ; d’ailleurs, par cela même que nous connaissance son erreur, par cela même nous en sommes exempts : donc nous sommes en cela plus éclairés, plus parfaits, enfin plus que lui.
j’en suis sûr, quelque disposés que vous fussiez d’ailleurs, vous craindriez que la mort ne vous y surprît.
Je continuë donc de parler de ceux que la seule passion du plaisir a inventez, qui sont les mêmes qui deviennent criminels à l’égard de certaines personnes, & qui ne sont jamais sans danger à l’égard des autres, tels que sont les bals, comedies, balets, & les autres de cette nature, qui sont en usage dans ce siecle, & qui sont presque l’unique occupation des gens de qualité en ce temps de divertissement ; & je soutiens encore une fois, qu’ils sont dangereux à l’égard de tout le monde ; c’est à dire que s’ils ne font pas une occasion prochaine de peché à l’égard de tous, le danger est toûjours assez grand, pour porter tous ceux qui craignent l’offense de Dieu, à les fuir ; vû que d’ailleurs il est bien rare que la bienseance, ou leur devoir leur impose une espece d’obligation d’y assister.
Ce poëme est d’ailleurs bien écrit.
Le père & le fils, plus irrités que jamais, recommencent à s’injurier comme des crocheteurs, & finissent la scène par ces paroles horribles, qui d’ailleurs ne servent de rien à la marche de la piece.
Le sieur Renaudin a établi un magasin où l’on trouve toute sorte d’habits de théatre pour homme, femme, tragédie, comédie, opéra, pour toute sorte de rôles, de nations, de costume ; on en fait faire d’ailleurs dans le goût de ceux qui le commandent & en fournissent les modelles.
L’eût-on d’ailleurs, on transformeroit bien-tôt le spirituel en corporel très-grossier.
Mais Godefroi remarque que les stipulations sont plus rigoureuses que les legs, qui sont libres ; que dans l’un on favorise le stipulant, & l’héritier dans l’autre ; que d’ailleurs la demande étoit, vestem suam quæcumque muliebris est, ce qui comprend tout.
Je continuë donc de parler de ceux que la seule passion du plaisir a inventez, qui sont les mêmes qui deviennent criminels à l’égard de certaines personnes, & qui ne sont jamais sans danger à l’égard des autres, tels que sont les bals, comedies, balets, & les autres de cette nature, qui sont en usage dans ce siecle, & qui font presque l’unique occupation des gens de qualité en ce tems de divertissement ; & je soutiens encore une fois, qu’ils sont dangereux à l’égard de tout le monde ; c’est-a-dire que s’ils ne sont pas une occupation prochaine de peché à l’égard de tous, le danger est toûjours assez grand, pour porter tous ceux qui craignoit l’offense de Dieu, à les fuir ; vû que d’ailleurs il est bien rare que la bienseance, ou leur devoir leur impose une espece d’obligation d’y assister.
Je n’aime pas d’ailleurs qu’en parlant du peuple, on paroisse supposer qu’il importe peu qu’ils soit perverti ou non.
D’ailleurs, ces sortes d’épreuves réussissent-elles toujours ?