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383. (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre II. Charles IV & Charles V. » pp. 38-59

C’étoit une folie complette, il rompoit le premier, & ne pouvoit espérer le second, ni en tirer aucun avantage.

384. (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE IV. Extrait des Lettres de M. Clément. » pp. 85-106

Ce désordre arrive presque toujours quand le théatre ose porter ses mains sacrilèges sur les choses saintes, ce qui a fait défendre absolument chez les Protestans toutes les pieces tirées de l’Ecriture.

385. (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Sixième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 40-72

Beaucoup d’honnêteté, avec une légère dose de sens-commun, que ces Etres relevés, qu’on appelle hommes, veulent bien accorder à celles d’entre nous qui leur plaisent, suffiront pour me tirer d’affaire

386. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE IX. Sentiments de Tertullien. » pp. 180-200

Quel fruit peuvent en tirer des gens qui ne sont pas à eux-mêmes, que le plaisir de ne se posséder pas ?

387. (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — QUATRIEME PARTIE. — Tragédies à corriger. » pp. 180-233

Si le Poète avait donné à cette Vestale un caractère convenable, et des sentiments d’une vertu sublime, il en aurait fait le personnage brillant de sa Tragédie : Justine en remerciant Géta de sa protection, et celui-ci ne lui déclarant son amour qu’en cette occasion, le Poète en aurait tiré une Scène admirable ; la surprise dont Justine serait frappée donnerait une grande vivacité au Dialogue, et son caractère ne perdrait rien de son innocence ; la mort même de cette Vestale concourrait parfaitement au but naturel de cette Tragédie ; elle mourrait sans qu’on eût à lui reprocher qu’elle se tue moins par vertu et par religion, que par désespoir de la mort de son Amant.

388. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre III. De la Dédicace de la Statue de Voltaire. » pp. 71-94

Ce char étoit tiré par quatre bufles, & étoit surmonté d’une figure de la mort, tenant une faulx à la main, qui fauchoit tout : elle avoit à ses pieds plusieurs sépulchres à demi ouverts, d’où sortoient des corps décharnés, comme dans le tableau du jugement, de Michel Ange.

389. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre VII. Troisieme suite du Fard. » pp. 171-194

Vous venez du néant, d’où le Créateur vous a tiré, de la terre d’où il vous a formé, du péché dont le Rédempteur vous à sauvé, d’une femme que la vanité a perdue, & qui par le dangereux poison de ses charmes, a perdu son mari, & tout le genre humain.

390. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre II. Du Philosophe de sans souci. » pp. 36-60

C’est apprendre beaucoup de voir qu’on ne sait rien, &c Sait-il donc s’il est libre, & si sa volonté N’est pas l’esclave honteux de la fatalité, S’il fut de tous les temps, ou si Dieu par trois mots Tira l’ordre du sein de l’antique cahos ; Dira comme de rien peut se former un être ?

391. (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE III. Suite du Mariage. » pp. 55-79

Ce sont ses portes de derriere pour se tirer d’intrigue.

392. (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE I. Réformation de Riccoboni. » pp. 4-27

Parmi bien de vains efforts qu’il faisoit pour se dégager, il raconte que dans les Ouvrages qu’il a donnés il insinue la nécessité de réformer les abus du théatre, mais que crainte de déplaire, il avoit si bien enveloppé ses idées, que personne ne s’en étoit apperçu, & ne lui en savoit mauvais gré ; qu’enfin il lève le masque, puisque retiré du théatre il peut le faire sans risque ; & propose à découvert la nécessité de la réformation. rIl avoue sincèrement que la vraie réformation seroit de le supprimer tout-à-fait, il convient de tout ce qu’on a écrit contre lui, mais que ne lui appartenant pas de le prendre sur ce ton, & de fronder l’autorité publique, qui le tolère par des raisons qu’il doit respecter, & ne pouvant d’ailleurs espérer qu’on frappe jamais un si grand coup, il se tourne du côté de la réforme, pour diminuer du moins le mal, & tirer quelque bien du spectacle, ce qu’il ne croit pas impossible.

393. (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [R] » pp. 447-466

Les Villes de Province, assez considérables pour avoir un Théâtre où l’on jouerait toute l’année, ou seulement durant l’hiver, tireront leurs Acteurs du Collége Dramatique de la Capitale : on leur enverra les jeunes Elèves des deux sexes dont elles auront besoin, soit de ceux & celles dont il est parlé dans l’Articles précédent, qui n’auront pas encore été jugés capables d’être admis au Théâtre de la Capitale, soit des autres, qui auront néanmoins achevé leurs Exercices, & qu’on réputera les plus formés.

394. (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE II [bis]. De la Comédie considerée dans elle-même, et dans sa nature. » pp. 29-54

Conclusion qu’on doit tirer de tout ce qui a été dit ci-devant.

395. (1666) Réponse à l'auteur de la lettre « letter » pp. 1-12

Vous voulez abuser du mot de Comédies, et confondre celui qui les fait pour le Théâtre, avec celui qui les traduit seulement pour les Ecoles, mais il y a tant de différence entre eux qu’on ne peut pas tirer de conséquence de l’un à l’autre.

396. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VII. De l’infamie canonique des Comédiens. » pp. 153-175

ne l’a-t-il pas tirée du théâtre ?  

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