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261. (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome II « La criticomanie. » pp. 1-104

Le bon goût aurait pu attendre l’influence de la belle institution de l’Académie Française, qui devait faire disparaître les équivoques, les obscurités du langage, naturellement et sans inconvénient, de la manière que le soleil dissipe les ombres.

262. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre II.  » pp. 37-67

Dans Eustache de Bellay, qui s’attend de voir une Bourgeoise en commerce réglé avec un Prince, sur le pied de mariage ?

263. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre V.  » pp. 129-160

Cette chanson est du moins dans l’esprit de la fête, dans le caractère du héros, j’ aime mieux Moliere, ou que j’aime mieux Moliere  ; ce refrain est assurément plus convenable que tous les traits augustes, que la couronne des mœurs, que l’immensité, que l’éternité, que l’espace attendus, que l’immensité resserrée, l’aîle du tems qui plane, la demeure du sort, & tout ce fatras où l’auteur ne s’entend pas lui-même, & dont Moliere seroit bien étonné de se voir offrir le burlesque hommage : Quid dignum tanto feret hic promissor hiatu, Parturient montes, nascetur ridiculus mus.

264. (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre I. Diversités curieuses. » pp. 5-37

Il va faire incessamment ce magnifique cadeau à la nation des philosophes, & à la République des lettres qui vont l’attendre avec impatience, & l’acheter à grand prix.

265. (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre III. De l’Éducation. » pp. 60-92

Les vieillards s’y opposent, il plaide la cause de Cecile, & sans attendre leur réponse, donne la rose en main à celle qui lui plaît.

266. (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre III. Suite de Mêlanges. » pp. 84-120

Dans un autre pot-pourri de prédictions, au commencement du regne de Louis XVI, dont les papiers publics ont fait un grand étalage, & qui n’est qu’une répétition déguisée de l’ancien vaudeville, Et tout s’en va cahin, caha, & de vingt autres que Panard & les Italiens ont fait en divers temps, on trouve ce couplet : Désormais l’acteur, loin de trancher d’un ton de prince, sans air protecteur, recevra le modeste auteur ; Chloé, qu’on vit si mince, dans son éclat, se souviendra des sabots que jadis en Province elle porta, & n’attendra pas pour se corriger qu’on la pince , &c.

267. (1758) Sermon sur les divertissements du monde « SERMON. POUR. LE TROISIEME DIMANCHE. APRÈS PAQUES. Sur les Divertissements du monde. » pp. 52-97

Ce ne sont encore pour eux que des divertissements ; mais attendez que le feu se soit allumé, et bientôt ces divertissements ne deviendront, et pour eux, et pour vous, que trop sérieux.

268. (1771) Sermons sur l’Avent pp. 103-172

Jean ayant appris dans la prison les œuvres merveilleuses de Jesus-Christ, il luy fit dire par deux de ses Disciples, qu’il luy envoya ; Estes-vous celuy qui doit venir, ou si nous devons en attendre un autre ?

269. (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre VI. Suites des diversites curieuses. » pp. 138-172

Ce fut à la priere même des Avocats que sa condamnation fut prononcée ; on ne devoit pas moins attendre de ces sages Jurisconsultes, & du zele des Magistrats pour les bonnes mœurs.

270. (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre V. Remarques Angloises. » pp. 133-170

Il composera lui-même les vers, sans invoquer les muses, & attendre qu’Apollon l’inspire.

271. (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE III. L’Esprit de Moliere. » pp. 72-106

On bat sans peine des gens simples & sans défense qui ne s’y attendent pas.

272. (1769) Dissertation sur les Spectacles, Suivie de Déjanire, Opéra en trois actes, par M. Rabelleau pp. -71

Il y a une infinité de génies qui n’attendent, pour se déclarer, que leurs ordres & leurs graces ».

273. (1608) Traitté contre les masques pp. 3-36

Si jadis entre les Payens l’object de la statue & de l’image de l’Empereur arrestoit toutes violences & immodesties, que c’est object du Roy des Roys, de l’Empereur des Empereurs, de ceste Emperiere & Royne mere de Dieu que l’Eglise nous met deuant les yeux en memoire de l’incarnation, mette fin à noz folies & irreuerences plus que payennes : Sur ce subject ie vous allegue vne histoire escrite par Pierre de Montboissier le venerable Abbé de Cluni & Auuergnat, discourüe par Huës Abbé de loüable memoire son deuancier, en plain chapitre la veille de Noel : Sçachez mes freres que Dieu sera auec nous en ceste saincte iournee, qu’il s’esiouyt de voz appareils & s’attend à vostre deuotion seruiable, sçachez außi que le Diable de l’autre part ennemy & enuyeux de vostre felicité s’efforcera d’offusquer la splendeur de ceste iournee & de vos bonnes œuures, ou d’amoindrir la gloire de ceste festiuité, vn de voz freres (parlant de luy) a veu ceste nuict la vierge mere de misericorde tenant sur son giron son fils qu’elle a enfanté ceste nuict, & a veu vne multitude d’Anges qui l’enuironnoit, ce petit enfant, Dieu tressailloit de ioye & applaudissoit des mains & dressant son visage riant & sa parole vers sa mere, vous voyez dit-il ma mere la nuit de ma natiuité remplie d’allegresse, en laquelle les oracles des prophetes & les hymnes des Anges se renouuelleront, & toutes les creatures celestes & terrestres se resiouiront de ma naissance de vostre ventre virginal, où est maintenant la perfidie de l’ennemy damné ?

274. (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE II. L’Impiété du Théâtre Anglais. » pp. 93-168

qui ne fait point attendre le Lecteur pour lui fournir une ample matière de scandale.

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