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365. (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre III. Théatre de Pologne. » pp. 80-105

La fête commença par une Comédie allégorique au sujet de la fête, sur un theatre dressé dans la grande allée (la fête elle-même étoit une Comédie ou le dénouement d’une Tragédie).

366. (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE VI. De l’indécence du Théatre. » pp. 114-137

Le Mercure ajoûte avec complaisance un extrait de la gazette de Londres sur la tragédie le Siege de Calais, où l’on trouve ces paroles : La révolte d’Harcourt, occasionnée par la tyrannie des Ministres, est une excellente leçon pour eux, & les avertit, &c.

367. (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE VII. Suite de l’Indécence. » pp. 138-160

Quel reproche ne s’est pas fait Racine, quelle pénitence ne s’est-il pas imposée pour la composition de ses tragédies, écrites cependant avec la plus grande décence, si la décence ne consiste qu’à éviter les grossieretés ; mais dont l’insinuante tendresse a séduit & séduira une infinité de cœurs !

368. (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE III. Théatre de S. Foix. » pp. 52-75

Une Dame lui demanda une tragédie en un acte.

369. (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE III. Des Comédies de ce temps, si elles sont moins mauvaises et moins condamnables que celles du temps passé. » pp. 55-81

Si l’on n’a point touché aux Tragédies de M.

370. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre III. Jurisprudence du Royaume. » pp. 51-74

 7.) il décrit les magnifiques jeux que donna Pompée, où quatre cents lions et grand nombre d’éléphants furent tués, où parut le fameux Esope, le plus grand Acteur du temps, et les tragédies de Clytemnestre et du Cheval de Troie furent représentées avec les plus riches décorations.

371. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VIII. De l’excommunication des Comédiens. » pp. 176-199

« Ne sera libre aux fidèles d’assister aux comédies, tragédies, farces, moralités, vu que de tout temps cela a été défendu aux Chrétiens, comme apportant corruption des bonnes mœurs, et les Magistrats Chrétiens sont exhortés de ne pas le souffrir. » (Discipl. des Protest.

372. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE IV. Suite des effets des Passions. » pp. 84-107

La mémoire trop fidèle, le cœur trop sensible, l'imagination trop vive, les objets trop séduisants, et jusqu'aux chimères, tout sert si aisément une concupiscence trop redoutable, que les Solitaires même, ensevelis dans les antres de la Thébaïde, les Religieux de la Trappe, selon la tragédie du Comte de Comminge, dont nous avons parlé ci-dessus, ne sont point en sûreté contre cet agréable ennemi (leçon que le sieur Arnaud n'a pas prétendu donner, puisqu'elle doit faire abandonner le théâtre).

373. (1667) Lettre sur la Comédie de l'Imposteur « Lettre sur la Comédie de l’Imposteur » pp. 1-124

Et pour le faire avec ordre, il faut supposer, disent-ils, que le Théâtre est l’école de l’homme, dans laquelle les Poètes, qui étaient les Théologiens du paganisme, ont prétendu purger la volonté des passions par la Tragédie, et guérir l’entendement des opinions erronées par la Comédie : que pour arriver à ce but, ils ont cru que le plus sûr moyen était de proposer les exemples des vices qu’ils voulaient détruire ; s’imaginant, et avec raison, qu’il était plus à propos, pour rendre les hommes sages, de montrer ce qu’il leur fallait éviter, que ce qu’ils devaient imiter. […] Ils continuent, que c’est ce que les Poètes ont pratiqué, en introduisant des personnages passionnés dans la Tragédie et des personnages ridicules dans la Comédie (ils parlent du ridicule dans le sens d’Aristote, d’Horace, de Cicéron, de Quintilien et des autres maîtres, et non pas dans celui du peuple :) qu’ainsi faisant profession de faire voir de méchantes choses, si l’on n’entre dans leur intention ; rien n’est si aisé que de faire leur procès : qu’il faut donc considérer si ces défauts sont produits d’une manière à en rendre la considération utile aux Spectateurs : ce qui se réduit presque à savoir s’ils sont produits comme défauts, c’est-à-dire comme méchants et ridicules ; car dès là ils ne peuvent faire qu’un excellent effet.

374. (1781) Réflexions sur les dangers des spectacles pp. 364-386

Sans rien répéter de ce que j’ai dit sur cette matière, je me contenterai d’observer, que pour une bonne tragédie qu’on represente, il y a cent comédies qui ne valent pas mieux que celles d’Aristophane ; cent petites farces d’une licence digne de la sévérité de la police.

375. (1788) Sermons sur les spectacles (2) « Sermons sur les spectacles (2) » pp. 6-50

mes Frères, la tragédie & la comédie ne sont-elles plus comme autrefois le tableau mouvant & animé des passions humaines ?

376. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre III. Aveux importans. » pp. 83-110

C. ne veut pas dès Prédicateurs en brodequins qui ayent des mouches & du fard sur le visage ; la tragédie fait revivre les anciens crimes, on les tire de dessous le tombeau, on apprend à notre siècle des impuretés auxquelles il n’auroit peut-être jamais pensé ; l’on fait des exemples des crimes qui n’existent plus.

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