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254. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE V. Des Pièces tirées de l’Ecriture sainte. » pp. 96-119

Il fut interdit par le Cardinal de Noailles, et mourut sans en être relevé.

255. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE VI. De la Religion sur le Théâtre. » pp. 120-142

La postérité saura peut-être la fin de ce poète Comédien, qui en jouant son malade imaginaire, reçut la dernière atteinte de la maladie dont il mourut peu d’heures après, et passa des plaisanteries du théâtre, parmi lesquelles il rendit presque les dernier soupir, au tribunal de celui qui dit : ’Malheur à vous qui riez, vous pleurerez’. » C’est un jugement bien différent de celui de ses adorateurs, il est bien d’un autre poids.

256. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre II. Discipline du Palais. » pp. 26-50

C’était un homme du métier, puisqu’après avoir été Conseiller et Président au Parlement de Toulouse, et ensuite Conseiller au Parlement de Paris, il mourut enfin Conseiller d’Etat.

257. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VIII. De l’excommunication des Comédiens. » pp. 176-199

 10.) l’interdit si bien, qu’il veut qu’on jette au feu ce que les impies ont offert, et qu’on laisse plutôt mourir de faim les pauvres, que de rien accepter d’eux.

258. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE II. Le Théâtre purge-t-il les passions ? » pp. 33-54

Si quelqu’un y meurt, ce n'est point un châtiment, c'est un suicide, un nouveau crime.

259. (1671) La défense du traité du Prince de Conti pp. -

Et ce Prince a employé jusqu’à sa mort tout le reste de ses revenus, à réparer les dommages que les peuples avaient soufferts par ses troupes durant les désordres du temps ; pendant que Madame la Princesse de Conti secondant le zèle de Monseigneur son mari, vendait toutes ses pierreries, pour en distribuer l’argent aux pauvres qui mouraient de faim. […]  ; « que celui qui finit ses jours en s’avançant toujours dans la vertu, meurt avec cette sainte confiance, qu’il va se présenter devant le tribunal de Dieu pour recevoir l’accomplissement, et la perfection de ce qui lui restait à faire ». […] Y a-t-il rien de plus doux que de mourir pour aller recevoir la récompense de ses travaux ? […] L’importance n’est pas de mourir bien tôt, ou de mourir bien tard ; mais de bien mourir ; et pour bien mourir, il faut avoir bien vécu. […] Que ne meurt-il avec plus de résolution, et de constance ?

260. (1772) Sermon sur les spectacles. Pour le Jeudi de la III. Semaine de Caresme [Sermons pour le Carême] « Sermon sur les spectacles » pp. 174-217

Et un Chrétien, qui sait que le glaive suspendu sur sa tête ne tient qu’à un fil, un simple fil prêt à se rompre, un Chrétien qui sait que son Juge l’épie comme un voleur pour le surprendre, ce Chrétien s’expose de sang froid sur un endroit où il craint de mourir !

261. (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE II. Du Mariage. » pp. 30-54

La scène Angloise fait mourir ; mais le François a plus à cœur la propagation que la destruction.

262. (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE II. Théatres de Société. » pp. 30-56

On crut d’abord que cet évanouissement étoit contrefait, on admiroit l’art qui imitoit si bien la nature ; il ouvrit un moment les yeux sans dire une parole, tomba de son fauteuil, & mourut.

263. (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE I. De l’Amour. » pp. 4-29

Quelque temps après ce Prélat alla visiter les classes, selon sa coutume, pour examiner & récompenser les enfans ; il fut fort étonné de voir toutes les filles habillées de noir, il en demanda la raison : Monseigneur, lui dit-on, Zaïre est morte, nous en portons le deuil.

264. (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE IV. Suite des Masques. » pp. 82-109

votre fils mourra : Cur aliam te esse simulas ?

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