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254. (1789) Lettre à un père de famille. Sur les petits spectacles de Paris pp. 3-46

(Il est question ici principalement de la jeunesse).

255. (1686) Sermon sur les spectacles pp. 42-84

Quelle profession en effet que celle d’apprendre à tromper les hommes, à séduire la jeunesse, à mépriser des parents, à vivre dans le crime, à flatter les passions, à honorer les vices, à accréditer les erreurs !

256. (1789) La liberté du théâtre pp. 1-45

Sous la régence d’Anne d’Autriche, & dans la jeunesse du Roi Louis XIV, la Nation Françoise commençoit à s’instruire en écoutant, à son Théâtre, les Scènes admirables de P.

257. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VIII. Anecdotes illustres du Théatre. » pp. 186-214

Les Saints en Paradis, les damnés en enfer, &c. ne font aucun mal, les nudités des décorations, la coquetterie des actrices ; les amours des Dieux, & le libertinage de la jeunesse, &c. font commettre mille péchés.

258. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre V. Du Faste. » pp. 154-183

Jerôme à une veuve, c’est bien à vous qui avez enséveli tous vos plaisirs dans le tombeau de votre époux, qui par vos larmes avez effacé les couleurs de votre visage, qui par votre deuil renoncez aux modes du siècle ; c’est bien à vous à le disputer à la jeunesse & nourrir la volupté ; à poursuivre des conquêtes, à partager votre vêtement entre les couleurs sombres du veuvage & les grâces riantes de la parure, vous aspirez sans doute à de secondes nôces, ou ce qui est encore plus triste à des crimes ; est-il si difficile & si rare de trouver la coquetterie sous le voile, de faire passer la passion à travers le crêpe, & de relever les attraits par le noir ?

259. (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre VII. Autre suite de diversités curieuses. » pp. 173-202

Parmi tous ces ennemis qui nous font une cruelle guerre pour nous amuser, disent-ils, ils devroient dire pour nous perdre, la passion de l’amour est la plus dangereuse, par le penchant violent qu’y donne la concupiscence, par les crimes sans nombre qu’elle fait commettre, par l’empire souverain qu’elle exerce sur le théatre, ses attraits, ses dangers, ses objets, toutes les batteries qu’elle y dresse contre un cœur déjà demi vaincu, & qui aime sa défaite par les erreurs qui lui ouvrent toutes les avenues ; que c’est la foiblesse des Héros, l’amusement de la jeunesse, que la sévérité de la vertu est un ridicule ; par la réunion de mille autre ennemis, le chant, la danse, la pompe avec ses vanités, ses charmes & ses immodesties, par l’assemblage des deux sexes, avec tout ce qu’ils ont de séduisant, & de tous les libertins, avec tout ce que leur compagnie a de pernicieux.

260. (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre VI. Dorat. » pp. 141-175

        Econome de ma jeunesse,         Et du temps qui nous est compté,         L’instans que la Parque me laisse,         Je le donne à la volupté,         Et dans les bras de ma maîtresse….

261. (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE IV. Traité de la Danse de Cahusac. » pp. 76-104

La jeunesse Grecque formoit des pas mesurés, & ne respiroit dans ses chants, ses mouvemens, ses attitudes, que la liberté, la joie, le plaisir, les transports de Bacchus.

262. (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE IV. Le vice élevé en honneur et substitué à la place de la vertu sur le Théâtre Anglais. » pp. 240-301

« Faiblesse humaine, saillie de jeunesse.

263. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre I.  » pp. 3-35

belle leçon, beau modèle pour la jeunesse !

264. (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE V. De la Parure. » pp. 107-137

Quelques Comédiens peuvent vouloir perdre de bonne heure leurs enfans, quelques mondaines, éleves du théatre, peuvent donner une mauvaise éducation ; mais rarement les parens font une loi de la grande parure ; soit modestie, soit économie, l’excès, l’affectation ne viennent guere que de la jeunesse.

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