Un grand ordre Corinthien comprend toute la hauteur de l’Edifice.
Je ne pouvois comprendre comment le Mercure se prête tous les mois à annoncer les divers fards qu’on invente pour les femmes : lait virginal, essence de beauté, rouge, blanc, &c. selon qu’il plaît à la plus misérable engeance des Charlatans ; qu’à la bonne heure il annonce les secrets approuvés pour les Arts, pour l’Agriculture, pour la Médecine, ils sont utiles ; mais à quoi servent ces drogues qu’à entretenir la vanité & le libertinage ?
Pauvres curés, est-ce que vous ne voyez pas, que vous ne comprenez pas ; que vous ne concevez pas, est-ce qu’il vous est permis d’ignorer ; que la danse aide à la digestion, dissipe les humeurs, facilite la transpiration, rétablit l’équilibre, redresse les muscles, & répand dans l’ame un baume de santé qui se répand dans l’ame un baume de santé qui se répand dans tout le corps.
Je ne comprends pas comment les Jésuites, nouvellement établis à Paris, qui faisoient profession de suivre les statuts de l’Université, & qui ne négligèrent rien pour s’y faire agréger, oserent, & purent même impunément introduire le théatre dans les Collèges, sous les yeux de l’Université.
Je comprends que les lois de la Religion et celles du Théâtre Anglais sont bien différentes.
dans toute l’ecriture sainte vous ne devez point chercher d’autre doctrine, et personne ne doit entreprendre de vous en donner d’autre que celle qui est comprise dans cette double charite.
De cette réponse, l’Auteur dit que Saint Thomas tire trois conséquences ; que la Comédie est comprise sous le nom général de jeu & de divertissement ; que les Comédiens qui jouent toute leur vie, ne sont pas pour cela en état de péché ; que non seulement il n’y a point de mal à les payer, mais que c’est une justice. […] On imprima en 1618, à Barcelone un Traité en langue espagnole, où l’on démontre que la fréquentation des Théatres doit être comprise au nombre des actions illicites & inconciliables avec la regle évangélique. […] Il est divisé en trois parties, dont la premiere comprend le regne de l’idolâtrie jusqu’à son extinction sous Justinien ; la seconde décrit l’état du Théatre depuis l’extinction de l’idolâtrie jusqu’à la naissance des Scholastiques ; & la troisieme depuis les Scholastiques jusqu’à nous. […] C’est ce qu’on nomme la Philosophie de l’Histoire ; grand nom, sur lequel on comprend l’art de tout romaniser pour le bien des hommes & la plus grande gloire de l’Auteur ! […] Ce Législateur de Crete comprit, que pour rendre heureuse la Nation pour qui le Ciel l’avoit fait Roi, il falloit sur-tout la rendre vertueuse206 ; &, pour y parvenir, il écarta de ses Etats l’oisiveté, la volupté, le luxe & les délices, sources de tous les vices.
Je ne puis comprendre comment des gens sages ont pu vouloir leur donner ce goût, soit-en les menant aux spectacles, soit en les faisant représenter chez eux & par eux-mêmes.
… Un vieux Chevalier fort instruit, voyant Madame interdite, soyons de bonne foi, lui dit-il… Ou vous n’avez pas compris ce que vous a dit votre Confesseur, ou quelqu’éclairé qu’il puisse être sur-tout autre sujet, c’est en celui-ci un aveugle, qui en dirige un autre. […] Voilà, Madame, dit le brave Chevalier, ce qu’on a eu soin de me faire comprendre, en m’instruisant sur le Sacrement de Pénitence.
C’est pourquoi, dit ce Père, les Théâtres causent dans les Villes de grands maux, que l’on ne comprend pas. […] Pour comprendre la force de ce passage, et les conséquences que l’on en peut tirer, il faut faire trois réflexions.
Il est difficile de comprendre pourquoi les sculpteurs & les peintres sont moins réservés sur les nudités des hommes, que sur les nudités des femmes.