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302. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre VII. Troisieme suite du Fard. » pp. 171-194

Henri Henriques, Portugais, d’abord Jésuite, & ensuite Dominiquain, enfin redèvenu Jesuite, a composé une Somme Théologique, éloignée des deux excès, du rélâchement & de la sévérité ; c’est un Casuiste judicieux, méthodique, clair & précis, habile Canoniste : il parle, L. 8, C. 56, de ceux à qui on doit réfuser, même publiquement, la Communion, il décide comme tout le monde, qu’il faut la réfuser aux pécheurs publics, selon ces paroles de l’Evangile : ne donnez pas les choses saintes aux chiens  ; il distingue les différentes especes de notorieté, & de connoissance personnelle, qu’on peut avoir du crime, & donne des exemples de plusieurs sortes de pécheurs publics, qui ne méritent pas de communier ; la plupart ne sont pas l’objet de cet ouvrage.

303. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VI.  » pp. 193-217

De Constantinople à Pekin, pas une queue, quoique tout porte l’habit long ; & chez les Catholiques d’Europe, quoique tout le monde porte l’habit court, tout ce qui prélatise allonge sa grandeur par des queues, quoique le cérémonial ecclésiastique ne la favorise pas davantage.

304. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre IV [III]. La Grange & Destouches. » pp. 90-114

Dans une ville pestiferée tout le monde n’est pas malade, il suffit qu’un grand nombre des habitans soient atteints de la peste, pour craindre d’y être enveloppé, & devoir s’en éloigner.

305. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre V [IV]. De la Chaussure du Théâtre. » pp. 115-141

Tout le monde sait l’honneur que lui a fait Edouard III, Roi d’Angleterre, en établissant l’ordre de la jarretiere, dont les plus grands Seigneurs se font gloire d’être décorés.

306. (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre I. Continuation des Mêlanges. » pp. 7-31

Lafontaine & tous les Fabulistes seroient bien mutilés, la moitié des fables seroient supprimées, le Lion, le Tigre, le Loup, le Renard, le Serpent, &c. se trouvent par-tout ; & loin d’inspirer leurs vices, ils sont odieux à tout le monde.

307. (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE VII. Suite de l’Indécence. » pp. 138-160

Les pieces de théatre sont écrites en François, d’un style léger & piquant, ne se lisent que pour s’amuser, ne présentent les passions que pour les faire goûter, ne sont entre les mains de tout le monde & sur la scène que pour être assaisonnées de tout l’agrément de la représentation.

308. (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE III. Théatre de S. Foix. » pp. 52-75

Mais je n’apprécie point son mérite littéraire, je n’envisage ses livres que du côté des mœurs & du théatre, & ces livres sont entre les mains de tout le monde.

309. (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE I. Réformation de Riccoboni. » pp. 4-27

Dieu ne fait pas à tout le monde la grace qu’il a fait à celui-ci, quoiqu’une résistance de quarante ans l’en eût rendu bien indigne.

310. (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [R] » pp. 447-466

Tout le monde connaît les vers dont monsieur de Voltaire voulut honorer sa cendre ; ils l’ont encore plus honoré lui-même aux yeux des hommes sensés, ils étaient le tribut légitime de la reconnaissance.

311. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre II. Discipline du Palais. » pp. 26-50

On le représente comme un malade altéré qui demandait à tout le monde de l’or potable pour étancher sa soif et remédier à ses maux.

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