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184. (1765) De l’éducation civile « De l’éducation civile » pp. 76-113

Ils trouvoient le secret d’inspirer au Peuple les sentimens les plus convenables à l’état où il se trouvoit, & les résolutions les plus glorieuses dans les temps de calamités.

185. (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE VII. Histoire de la Poësie Dramatique moderne. » pp. 176-202

Montiano parfaite dans l’ordre, le stile, & les sentimens.

186. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre premier.  » pp. 4-42

Ils poussent de beaux sentimens, ils content joliment des fleurettes comme les celadons de l’Astrée sur le bord du lignon. […] Cet Ecrivain fécond faisoit chaque année deux drames, malgré ses immenses occupations, comme Andre Tiraqueau faisoit chaque année un livre ; il brille ; sur-tout par la force, & le naturel, par les expressions les sentimens & les images, par l’invention des desseins, des caractères, & des situations théatrales ; supérieur en ce point à son Disciple Metastasio.

187. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre III.  » pp. 75-112

Bossuet, qui en lut une, dit en Courtisan : Si dans toutes les pieces les sentimens étoient aussi purs que dans Peneloppe, on pourroit ménager quelque accommodement avec le Théatre. […] Germain, toujours plein d’honneur, de probité & fidélité, avec de sentimens dignes de sa naissance ; fort supérieur aux frivolités d’un bel esprit qui s’amuse, & qu’on auroit dû laisser dans l’oubli avec les puérilités qui les firent éclorre.

188. (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE VI. De l’Iconomanie théatrale. » pp. 141-158

On voit que quand on porte le Saint Viatique dans les maisons, s’il se trouve dans la chambre du malade, quelques tableaux de ce caractère, on a soin de l’ôter ou du moins de le couvrir, tant on en sent l’indécence, on le feroit encore pour recevoir la visite d’un Prince, d’un Grand qu’on sauroit ne pas aimer ces sortes de peintures ; on le feroit pour un homme de bien, un religieux, un homme grave, dont on connoît les sentimens.

189. (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre prémier. — Chapitre III. Origine des Théâtres. » pp. 22-49

On aura voulu représenter l’allégresse qu’on éprouve, une coupe à la main ; les Chansons auront d’abord exprimé les sentimens de l’âme.

190. (1670) Du delay, ou refus de l’absolution [Les Instructions du Rituel du diocèse d’Alet] « Du delay, ou refus de l’absolution. » pp. 128-148

Quels sentimens devroit-on avoir d’une personne qui mourroit dans le cours de sa penitence, avant que d’avoir receu l’absolution du Prestre ?

191. (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE V. Réforme de Fagan. » pp. 110-128

 35. qu’on affecte de ne pas citer, quoiqu’un des plus redoutables adversaires, pour n’être pas écrasé sous le poids d’une si grande autorité : Le charme des sens est un mauvais introducteur des sentimens vertueux.

192. (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE IX. Défauts que les Etrangers ont coutume de reprocher à notre Tragédie. » pp. 231-259

L’Espagnol qui a traduit Cinna, a si parfaitement rendu tous les sentimens & les expressions de son Original, que suivant l’Approbation du Docteur Espagnol qui est à la tête de cette Traduction, Si le Systême des Philosophes Payens sur la métempsycose étoit vraisemblable, on pourroit croire que l’ame de Corneille a été la même que celle de son Traducteur.

193. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre IV.  » pp. 113-155

Catherine lui en sut si bon gré, qu’elle lui demeura toujours unie, & qu’après la mort de Henri, lorsqu’elle fut la maîtresse des affaires, elle eut les mêmes sentimens, & laissa à Diane les biens immenses qu’elle avoit acquis, dont on auroit pu justement la dépouiller. […] Cette philosophe de son temps, cet esprit fort, incapable sans doute d’avoir un systeme suivi de religion, & n’en trouvant encore aucun de formé qu’elle peut embrasser, étoit du moins par goût & par caractere pétrie de tous les sentimens que l’irréligion inspire.

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