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413. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre III. De la Dédicace de la Statue de Voltaire. » pp. 71-94

La nature, la société, la coutume, la vanité-même, & les passions, en arborent partout les trophées, aussi bien que la Réligion, qui ne cesse de crier, tenez-vous prets, car vous ne savez ni le jour ni l’heure.

414. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre V [IV]. De la Chaussure du Théâtre. » pp. 115-141

Le soulier le plus riche ne sauve aucune difformité, & ne donne aucune grace ; rien ne supplée moins à la nature.

415. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre I. Des Parfums. » pp. 7-32

Dans toute la nature, la vieillesse entraîne le désagrément des odeurs une fleur fanée un fruit ridé, les animaux, les baumes décrépités ; tout annonce le cadavre qui va bientôt infecter le cercueil.

416. (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE VI. De l’indécence du Théatre. » pp. 114-137

C’est sa nature, on a beau l’élaguer, on n’arrachera jamais cet arbre : Naturam expellas furcâ, tamen usque recurret.

417. (1666) Réponse à l'auteur de la lettre « letter » pp. 1-12

Ils savent qu’elle n’est point mauvaise de sa nature, et qu’elle est sanctifiée par les prophètes, par les Patriarches et par les Pères.

418. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE V. Des Pièces tirées de l’Ecriture sainte. » pp. 96-119

C’est toujours le Verbe divin, le Fils unique du Père céleste, qui s’incarne dans notre nature, et qui se communique à nous par ses lumières.

419. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre II. Discipline du Palais. » pp. 26-50

Par ce détour artificieux, l’Auteur s’est donné la coupable licence de hasarder les propositions les plus contraires à la religion et aux bonnes mœurs, et de confondre la nature et les bornes des deux puissances.

420. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VIII. De l’excommunication des Comédiens. » pp. 176-199

Il en est de même de la nature des biens.

421. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre V. Du Luxe des coëffures. » pp. 115-142

Les differents visages demandent des traitemens différents, pour embellir la nature, ou réparer ses disgraces, concilier le ton de la chair avec la couleur de l’accommodage ; comme un peintre il faut connoître les nuances, l’usage du clair obscur, la distribution des ombres, pour donner plus de vif au teint, & d’expression aux graces.

422. (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre IV. Suite d’Anecdotes Ecclésiastiques. » pp. 106-132

Quoique les comédies soient indifférentes d’elles-mêmes, de leur nature elles sont très-pénétrantes, & inclinées du côté du mal, pleines de dangers & de périls.

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