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293. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre VIII.  » pp. 195-221

La Gazette Ecclésiastique, du 5 Octobre 1772, pour décrier les Jésuites, qu’il y a de la cruauté à poursuivre après leur proscription ; cette Gazette fait le plus long, le plus minutieux & le plus ennuyeux détail des affaires temporelles du Seminaire Romain, qu’ils gouvernoient depuis deux cens ans, des revenus, des dépenses, des pensionnaires, des directions, des domestiques, des achats, des ventes, &c.

294. (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre I. La Rosiere de Salenci. » pp. 10-37

Nous en avons parlé au long, Liv.

295. (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre IV. Maurice de Saxe. » pp. 118-145

Il est inutile d’en faire un plus long détail.

296. (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE II. Du Mariage. » pp. 30-54

On prie la Déesse de favoriser son commerce avec Alcmene, & de rendre cette nuit la plus longue de toutes les nuits, pour prolonger son plaisir.

297. (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE III. Réformation de l’Abbé de Blesplas. » pp. 55-81

Le trajet est un peu long des veines d’Alexandre, de Thémistocle, de Scipion, de César, dans les veines de nos Marquis : il a bien pu se mésallier dans la route.

298. (1738) Sentimens de Monseigneur Jean Joseph Languet Evéque de Soissons, et de quelques autres Savans et Pieux Ecrivains de la Compagnie de Jesus, sur le faux bonheur et la vanité des plaisirs mondains. Premiere partie « Sentimens de quelques ecrivains De la Compagnie de Jesus, Touchant les Bals & Comedies. Premiere Partie. — Entretien troisieme. Le danger des Bals & Comedies découvert par l’Auteur des Sermons sur tous les sujets de la morale Chrétienne de la Compagnie de Jesus. » pp. 26-56

Et ne me dites point que vôtre conscience ne vous reproche rien sur ce chapitre, & que vôtre experience ne vous a point encore fait connoître qu’il y eût du danger pour vous, & qu’ainsi vous ne regardez pas ces spectacles comme des occasions de peché, mais comme des divertissemens honnêtes & innocens : car ne sçavez-vous pas que comme il y a des poisons lents, qui n’ont leur effet qu’aprés un long tems, de même que peut-être vôtre esprit occupé presentement d’autres soins, ces passions dangereuses ne se font point sentir, ou que vous êtes comme Samson, qui croyoit qu’il se déferoit de ses liens, quand il voudroit ; mais il s’y trouva pris & arrêté, lorsqu’il s’y attendoit le moins.

299. (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Des anciens Spectacles. Livre premier. — Chapitre III. Du Triomphe. » pp. 112-160

On y voyoit une longue suite de diverses representations des Villes, des Montagnes, des Fleuves, & des Païs entiers, & generalement toutes les Conquestes que le Vainqueur avoit faites.

300. (1789) Lettre à un père de famille. Sur les petits spectacles de Paris pp. 3-46

Pour comble de malheur vous rencontrez tous les jours dans le monde des hommes de sens et d’esprit qui ne rougissent pas de se faire les apologistes de ces farces de baladins ; vous soupçonnez du danger dans ces Spectacles ; mais la force de l’exemple, la multitude des suffrages, la tolérance du gouvernement vous jettent dans des doutes que votre longue absence de Paris vous rend pour le moment difficiles à éclaircir par vous-mêmes.

301. (1822) De l’influence des théâtres « [De l’influence des théâtres] » pp. 1-30

Malgré la résolution où j’étais, en partant le matin, de faire le tour de Paris, je bornai là ma promenade extra-muros ; et dans la crainte de trouver encore un spectacle à la barrière d’Aulnay51, des masques de douleur sur des visages hypocrites, de longs habits de deuil sur des corps gonflés de joie, rien que de l’ostentation dans les derniers honneurs !

302. (1759) Apologie du théâtre « Apologie du théâtre » pp. 141-238

Ce n’est donc pas le fond, mais la superficie des mœurs qui a changé, et c’est en quoi le poète est obligé de consulter le goût de son siècle : mais ceci demanderait encore un long détail pour être expliqué. […] Mais je ne suis déjà que trop long. […] Rousseau me présente, je ferais un livre plus long que le sien, mais infiniment moins curieux, moins éloquent, moins intéressant de toutes manières.

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