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296. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VI. Du Fard. » pp. 143-168

Cet homme capable de tant de crimes n’étoit qu’un effeminé, la molesse & la scélératesse sont deux choses très-liées, & naissent l’une de l’autre.

297. (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre IV. Suite d’Anecdotes Ecclésiastiques. » pp. 106-132

De quoi n’est pas capable l’esprit du théatre, qu’on donne pour si utile au public ?

298. (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE II. Du Mariage. » pp. 30-54

La femme forte se lève de grand matin, parcourt toute la maison, s’instruit de ce qui s’y passe, met ordre à tout, règle ses domestiques, instruit ses enfans, distribue à chacun ses besoins & son travail, ne perd pas un moment ; pleine de force & de courage, de vigilance & d’adresse, le travail ne l’effraie pas, elle est capable des plus grandes choses, prend la quenouille & le fuseau, file le lin & la laine, fait à propos ses provisions.

299. (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE I. Faut-il permettre aux femmes d’aller à la Comédie ? » pp. 4-29

Foix) où de jeunes filles voluptueusement parées s’assemblent à cinq heures du soir pour étaler sur un théatre tout ce qui est le plus capable d’exciter des désirs violens & des passions criminelles ; elles dansent avec indécence, chantent d’une voix luxurieuse, déclament avec des graces séduisantes, & emploient tout leur art à allumer des feux sur lesquels est fondé le plus beau de leurs revenus.

300. (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE I. De l’Amour. » pp. 4-29

Rien, dit-il, n’est plus capable de corrompre les mœurs que le théatre ; ô qu’il m’a été funeste !

301. (1822) De l’influence des théâtres « [De l’influence des théâtres] » pp. 1-30

Après m’être assuré qu’il n’y avait rien de mieux dans le voisinage, je m’armai d’un courage dont je ne me croyais vraiment pas capable, et je fis tomber tout le poids de ma vorace colère sur un morceau de viande qui voyait le feu pour la troisième fois, et dont il fallut se contenter, faute d’autre chose, mais non sans maudire ces pompeuses enseignes, qui promettent tout et ne tiennent rien, comme la plupart des ouvrages de nos jours, demandez plutôt à….

302. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre IX. Sentiments de S. Cyprien et de quelques autres Pères. » pp. 175-201

Il ne nous est pas plus permis d’entendre parler des adultères des hommes et des Dieux, que les Comédiens pour gagner de l’argent chantent avec toutes les grâces dont ils sont capables (à l’Opéra) : « Nec fas est nobis audire Deorum hominumque adulteria, quæ suavi verborum modulamine prœmiis inducti celebrant. » Les Chrétiens se font gloire de la modestie et de la continence, ils respectent le mariage, honorent la chasteté, et fuient l’injustice et le péché.

303. (1789) La liberté du théâtre pp. 1-45

Il faut obtenir le suffrage d’un souverain Pontife, moins scrupuleux parce qu’il étoit plus éclairé ; il faut contrebalancer le refus d’un rival timide & jaloux, en trouvant un Censeur raisonnable ; il faut vaincre la froide obstination d’un Prêtre octogénaire & de quelques autres Ministres, à peine capables de comprendre cette profonde Tragédie.

304. (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE VII. Histoire des Cas de Conscience. » pp. 159-189

Boursaut pour conjurer l’orage chanta aussi la Palinodie ; il écrivit à l’Archevêque de Paris, une grande lettre qui se trouve au second Tome du Recueil de ses Lettres, mêlée à je ne sçai combien de galanteries & de folies de toute espece ; assemblage ridicule qu’un comédien est seul capable de faire.

305. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VIII. Anecdotes illustres du Théatre. » pp. 186-214

Ils me rendent justice , disoit-il, ils me croyent capable d’entendre la vérité.

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