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192. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE VII. De l’idolâtrie du Théâtre. » pp. 143-158

Le peuple ajouta aux solennités ecclésiastiques, et y ajoute encore en bien des endroits, des chants, des danses, des feux de joie, des illuminations, des représentations muettes, avec des statues, des mystères de Jésus-Christ et des actions des Saints.

193. (1760) Lettre d’un curé à M. M[armontel] « letter » pp. 3-38

Mais je vous invite à ne vous occuper de l’objet de cette Lettre que l’Evangile à la main, sous les yeux de Jésus-Christ.

194. (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE X. » pp. 171-209

C’est sous son Regne que Jesus-Christ vient au monde.

195. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « LIVRE PREMIER. CHAPITRE I. Le Clergé peut-il aller à la Comédie ? » pp. 10-27

Cyr, à l’exemple de plusieurs Ecclésiastiques et Religieux, qui avaient voulu lui faire leur cour en y allant, il la refusa et lui dit : « La réputation des Ministres de Jésus-Christ est trop précieuse et trop délicate pour la sacrifier à la complaisance ou à la curiosité.

196. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre I. Convient-il que les Magistrats aillent à la Comédie ? » pp. 8-25

Leur conviendrait-il d’être moins vertueux que ceux qu’ils corrigent, et n’aurait-on pas droit de leur dire avec Jésus-Christ, « Medice, cura te ipsum », et avec S.

197. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE IX. Sentiments de Saint Augustin sur les Spectacles. » pp. 180-198

Pour réprimer ses passions, il court, il crie, comme l’aveugle de l’Evangile, après Jésus-Christ, et non pas après le théâtre (Tract.

198. (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE IV. » pp. 78-112

La quatrième, que Jésus-Christ, la sainte Vierge, et les Saints voient ceux qui sont dans ces assemblées.

199. (1666) La famille sainte « DES DIVERTISSEMENTS » pp. 409-504

Si Dieu ruinait l’Empire du Turc en aussi peu de temps qu’il perdit Pharaon, s’il nous remettait dans la possession de la Terre Sainte, et de tous les lieux sacrés, où Jesus-Christ a opéré les Mystères de notre Rédemption, nous aurions les mêmes droits, et notre réjouissance devrait passer pour vertu. […] Si c’est une représentation curieuse de voir la mer sur un théâtre ; c’est une heureuse possession d’avoir Jesus-Christ dans le port : N’était-ce pas quasi dire, que bien que la Comédie n’eût rien de mauvais, ni en forme, ni en matière, ce n’est point un lieu où on trouve le Fils de Dieu. […] Ce fut assez dire à un bon entendeur : Si les Chrétiens avaient encore un peu de sentiment de l’honneur, que Jesus-Christ leur a fait en leur donnant son nom et en les appelant ses frères, je ne voudrais qu’un mot pour les écarter de toutes ces dissolutions : souvenez-vous leur dirais-je de la marque que vous portez sur le front. […] La grâce de Jesus-Christ se répand en tout lieu, elle laisse partout des marques de ses faveurs, et pour donner plus de facilité à tous les hommes de bien faire en quelque état qu’ils soient, il n’en est maintenant pas un à qui elle n’ait accordé des Protecteurs et des modèles de Sainteté. Elle a montré en saint Hubert et en saint Eustache, qu’on rencontre aussi bien Jesus-Christ dans l’épaisseur des bois, que dans les Oratoires, et que le Crucifix est aussi aimable entre les cornes d’un Cerf, que sur un Autel.

200. (1783) La vraie philosophie « La vraie philosophie » pp. 229-251

Pierre Corneille, dans ses dernieres années, traduisit en vers l’Imitation de Jesus-Christ ; mais cette bonne œuvre ne le délivra pas des reproches continuels qu’il se faisoit d’avoir travaillé pour le Théatre.

201. (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE VII. De la Dévotion des Comédiens. » pp. 160-179

Là dessus on ouvre un avis, d’instituer pour lui un ordre de chevalerie, l’Ordre du Christ : c’est celui de Portugal, qu’on fait voir par là n’être pas noble, comme ceux d’Espagne (trait de satyre impie).

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