Si la volupté, dit Platon, a été l’amorce de plusieurs maux, il faut que la volupté soit l’appât de plusieurs biens ; de sorte que la volupté détruise la volupté.
Si la volupté, dit Platon, a été l’amorce de plusieurs maux, il faut que la volupté soit l’appât de plusieurs biens ; de sorte que la volupté détruise la volupté.